1. Le feu de l'enfer...


    Datte: 30/09/2018, Catégories: fh, inconnu, uniforme, bizarre, vacances, forêt, Collègues / Travail collection, volupté, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral pénétratio, fsodo, init,

    Série estivale de portraits, cartes postales, piqués sur les plages de France et quelques lieux de villégiature estivale.Portraits de femmes et d’hommes, à qui, sous prétexte que c’est l’été et qu’ils sont en vacances, tout semble être permis… L’été, propice à toutes les rencontres, toutes les opportunités, toutes les excentricités ?Pour bon nombre d’entre nous, tout le monde en a entendu parler, mais très peu les vivent.Jamais là au bon moment, au bon endroit !Et vous découvrez, souvent après coup, que vous êtes passé à côté de ce qu’il fallait voir, car vous n’en étiez pas loin…Et cela pourrait presque venir gâcher vos vacances, enfin leurs souvenirs. Alors, pour vous éviter de rentrer moroses, je vous propose quelques portraits, piqués au vif, sur les plages, dans quelques stations balnéaires de nos côtes, ou dans quelques lieux touristiques que vous avez peut-être fréquentés…Adaptez-les à vos souvenirs et faites-les vôtres…Ils sont à vous. Le feu de l’enfer… La Provence, par ce temps chaud et estival, m’envoie dans le nez ses mille odeurs de terre brûlante, cuite par le dur soleil qui plombe une végétation rabougrie et odoriférante. Cistes, romarins, thym, fenouil, toutes leurs odeurs se mélangent et s’amalgament avec celle des vieux figuiers qui étalent largement leurs feuilles vertes et me procurent un semblant d’ombre et de fraîcheur. Et toutes ses odeurs se mixent aussi avec celle des pins, qui balancent leurs cimes dans un ciel d’un bleu éclatant. En traversant ...
    ... cette pauvre garrigue, mes semelles déplacent des gerbes de criquets et sauterelles tandis que mes oreilles sont assourdies par le crépitement des cigales. Je n’ai qu’une hâte : arriver au plus vite à destination, trouver l’ombre fraîche et un grand pastis… Oui, mais en attendant, je dois avancer, un peu perdu dans ce désert végétal, et mon point de rendez-vous semble encore loin ! Et ici, pas question de faire une pause, de griller une clope. D’ailleurs, le garde forestier qui m’a indiqué le chemin de la tour de guet, m’a aussi très sympathiquement confisqué allumettes et cigarettes. Prudence est mère de sûreté, dit le proverbe, on ne sait jamais ! Arrivé la veille d’Arbois, je me suis installé dans un de ces petits villages du Lubéron où, le soir, il fait si bon vivre, mais qui est envahi de touristes et de Parisiens. Heureusement, le patron, qui a compris ma soif de tranquillité, m’a indiqué cette balade en me glissant à l’oreille : — Pour sûr, personne y va dans la journée, parce qu’avé ce cagnard, faut être fada ou estranger pour aller s’y promener. Pourtant, du haut de la tour de guet, vous aurez la plus belle vue sur notre Lubéron ! Le tout ditavé l’assent, chantant comme une source intarissable au moment du pastis, qu’on sirote sous les hautes futaies des platanes de la petite place. Et voilà comment, ce matin, je me retrouve, arpentant la garrigue, dans un chemin « que même un mulet, y voudrait pas y monter et les chèvres l’évitent », en direction de la fameuse tour de ...
«1234...9»