Le feu de l'enfer...
Datte: 30/09/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
uniforme,
bizarre,
vacances,
forêt,
Collègues / Travail
collection,
volupté,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
pénétratio,
fsodo,
init,
... On se faisait de l’inquiétude… Sûr, on vous savait en de bonnes mains, mais quand même ! Bien entendu, tout le monde sait déjà que nous avons été cernés par le feu et que c’est grâce à d’ingénieuses protections que nous avons eu la vie sauve. Et tout le monde veut connaître l’histoire, ce qu’on a fait, dit, pensé… Pour la énième fois, je raconte ce que j’ai vu. J’oublie - un peu - de m’appesantir sur ma peur et omets complètement de parler de notre séance d’amour… par discrétion et galanterie. Mais le patron de l’hôtel, qui semble bien connaître Magali, me glisse à mi-voix : — Si cela avait été moi, à votre place, avec une belle fille comme la Magali, bé je crois que je l’aurais sautée, des fois que les systèmes, ils tombent en panne… Il me fait un petit clin d’œil, complice et souriant. Hé bien, non. Je ne dis rien. Je ne lui révèle rien. Mais, prétextant ma fatigue (qui est bien réelle) et l’odeur de l’incendie qui me colle à la peau, sans compter que je suis tout noir de fumée, je monte dans ma chambre. Vous dire qu’après cette douche, je trouve le sommeil, serait vous mentir. Non. Je tente bien de fermer les yeux, mais des images de flammes viennent aussitôt hanter mes pensées. Et puis, dehors, c’est un incessant ballet de phares, de gyrophares, de klaxons deux tons, de brouhahas… Alors, plutôt que de passer un reste de nuit à cauchemarder, je préfère vous ...
... écrire cette histoire. Magali est repartie au feu… peut-être qu’elle rêve de refaire l’amour au milieu des flammes ? En tout cas, ce sera sans moi ! Et puis, en tout état de cause, je sais maintenant ce que signifie l’expression « avoir le feu quelque part ! », et d’ores et déjà, j’éviterai les femmes qui exercent la profession de forestier ou de pompier, des fois que… Mieux vaut être prudent ! Hein ? Pour ma part, sur cette dernière aventure, je suis obligé de rejoindre mes pénates pour reprendre le travail. Toutes les bonnes choses ont une fin, dit-on… même quand on a failli terminer en grillade ! Ainsi s’achève mon tour de France des lieux de villégiature, où vous avez peut-être pu me croiser, au hasard de vos propres pérégrinations et vous, anonymes ami(e)s lecteurs et lectrices, j’ai aussi pu vous rencontrer, vous frôler, vous côtoyer…A moins que ce ne soit les aventures de l’un ou l’une d’entre vous que j’ai (involontairement) racontées… Mais après six semaines de vacances, de détente vouée au sexe, à la luxure, j’ose espérer que votre été aura pu être aussi chaud (et là, c’est vraiment le cas de le dire) que le mien et surtout moins dangereux…pour votre plus grand plaisir… Pour ceux qui partent maintenant, sachez profiter des gens qui vous entourent, soyez prudents et « sortez couverts » ! Pour les autres, je vous souhaite une bonne rentrée… A très bientôt.