1. Le feu de l'enfer...


    Datte: 30/09/2018, Catégories: fh, inconnu, uniforme, bizarre, vacances, forêt, Collègues / Travail collection, volupté, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral pénétratio, fsodo, init,

    ... trentaine d’années, les cheveux noirs, les yeux gris verts, le nez en trompette, une petite fossette qui marque son menton pointu. Ses seins ronds débordent, sans pour autant être disproportionnés, d’une chemise kaki, manches retroussées sur des bras fins. Les fesses moulées dans un pantalon de treillis qu’elle a dû retailler, car il lui sied à merveille, lui fait presque une seconde peau et met en valeur des fesses musclées. Après m’avoir désaltéré d’eau fraîche et sans quitter des yeux le paysage, elle m’explique son travail, son rôle : surveiller toute fumée suspecte dans la périphérie immédiate et au loin. Elle me fait faire le tour du propriétaire… Une surface minuscule où elle passe ses journées et une partie de ses nuits… Et sur la terrasse, suspendue à près de trente-cinq mètres de haut, elle me fait visiter sa région, m’indique en pointant le doigt tel sommet de colline ou les directions de Marseille, d’Aix, de Montpellier… Elle me désigne le Mont Ventoux… C’est vrai que la vue est encore plus belle d’ici, surtout avec un guide aussi aguichant que Magali, qui ne dépare pas dans le paysage. Et durant le temps de ses explications, en raison de l’étroitesse des lieux, à plusieurs reprises, nos corps s’effleurent, se touchent. Chaque fois qu’elle lève un bras pour me montrer tel ou tel point remarquable ou la direction de… des effluves capiteuses de son parfum viennent remplacer celles de la garrigue qui s’échauffe. À chacun de ces moments, mon nez frémit et une onde ...
    ... de désir parcourt mon corps. De temps à autres, le regard de Magali se fait plus lourd. Elle aussi me regarde à la dérobée, m’observe. Brièvement, car ses yeux ne quittent que rarement la ligne d’horizon et ils sont sans cesse en mouvement. Durant de longues minutes, nous restons, accoudés à la balustrade, face au paysage que nous surplombons, moi à l’admirer, elle à le surveiller. Nos corps sont au contact. Nos bras et nos hanches se touchent. Contre ma cuisse, je sens la chaleur de la sienne et, de temps en temps, il me semble que ses muscles tressaillent, imperceptiblement. — C’est beau, mais un peu monotone ! lui dis-je.— Oui, mais quand on a la chance d’avoir de la visite, ça rompt la monotonie, ça fait une distraction. Cette petite phrase courtoise est accompagnée d’un regard rapide et plein de sous-entendus… et d’un immense sourire à faire damner toutes les âmes du paradis. Et je ne peux y résister. Puisque je suis une « distraction », jouons jusqu’au bout. Je me serre un peu plus contre elle, passe mon bras au niveau de ses reins et, avec mon autre main glissée sous son menton, j’attire son visage vers le mien et l’embrasse. Ses lèvres sont sèches, un peu rugueuses, mais sa bouche est fraîche, sa langue pointue et fouineuse, car Magali accepte mon baiser et me le rend, sans fermer les yeux, qui continuent leur travail. Nous restons enlacés ainsi, à nous embrasser un long moment. Échangeant nos salives, jouant avec nos langues, nez à nez, lèvres à lèvres… Mes mains ...
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