Le feu de l'enfer...
Datte: 30/09/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
uniforme,
bizarre,
vacances,
forêt,
Collègues / Travail
collection,
volupté,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
pénétratio,
fsodo,
init,
... montent et descendent dans son dos. De temps en temps, elles s’égarent sur les fesses. À travers le tissu du treillis, je les empaume. Elles sont fermes, musclées et à mon contact, le bassin avance, recule, tangue de gauche et de droite. Magali, à ce moment-là pousse de petits soupirs, étouffés par notre baiser. Contre mon torse, ses seins se frottent. Même à travers le tissu un peu rêche de sa chemise, j’en sens les pointes qui se dressent. Les mouvements de son bassin, sorte de danse excitante et languissante, font redresser mon sexe et l’irritent. Mais Magali se détache de moi et, en reprenant son souffle, me repousse un peu : — Non, pas maintenant. Ce soir, je viens te chercher ! D’acc ? Bien que frustré, j’accepte et elle me pousse vers la sortie, en me faisant un grand sourire. Tout en redescendant, je me maudis, mais la comprends parfaitement. Elle est dépositaire d’une mission et elle n’a nullement l’intention de faillir à sa tâche. Il est près de dix heures du soir, quand un vrombissement troue le calme de la place, interrompt les conversations et les quelques joueurs de boules, qui tournent tous la tête en direction d’un véhicule rouge, qui déboule d’une des ruelles et fait crisser les pneus en s’arrêtant pile devant la table où je déguste une pression toute embuée de fraîcheur. Sans broncher de derrière son volant, Magali met le nez à la fenêtre : — Té, tu montes ! J’ai dû accepter du service jusqu’à trois heures. Une telle invitation ne se refuse pas. Et sous ...
... les yeux amusés de quelques habitués, et médusés des touristes de la terrasse, je contourne le lourd véhicule tout-terrain, type pick-up, aux couleurs des sapeurs-pompiers locaux, et prends place dans la cabine. — Il me faut remplacer une équipe qui est malade. Alors, je me suis dit que tu pourrais m’accompagner ! Hein ? Et nous voilà partis, brinquebalants, pour les chemins escarpés des collines provençales, seulement éclairés par la lueur des puissants phares du véhicule. Devant nous, de temps en temps, un renard, un blaireau, un lapin de garenne ou une famille de faisans, forcent Magali à ralentir sa conduite. Et nous nous enfonçons dans les bois, dans la garrigue, secoués comme des sacs de pommes de terre. Seuls les crachotements de la radio de veille nous accompagnent et arrivent à couvrir le bruit du moteur, martyrisé par Magali. Autour de nous, la nuit est noire d’encre. Sauf au loin, une lueur jaune orangé. — C’est quoi ? demandé-je à Magali en pointant la direction de la lueur.— Ô putain ! C’est un départ. Et tout d’un coup, la jeune femme semble trouver un calme étonnant, alors que mon cœur se met à battre la chamade et que j’ai l’impression que mon sang reflux de mes joues. En quelques gestes, elle stoppe son lourd véhicule, sort son GPS, sa carte, localise sa position, utilise un instrument de mesure, une paire de jumelles (je me demande bien ce qu’elle peut voir, par cette nuit noire et sans lune), puis entre dans la cabine d’où elle m’a intimé l’ordre de ne pas ...