1. Le feu de l'enfer...


    Datte: 30/09/2018, Catégories: fh, inconnu, uniforme, bizarre, vacances, forêt, Collègues / Travail collection, volupté, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral pénétratio, fsodo, init,

    ... attendre que ça passe… et les secours. Alors que je m’affale, les membres tremblants, sur la banquette arrière, Magali m’accueille dans ses bras et, avec des gestes presque maternels, quelques paroles d’encouragement et de réconforts, calme mes angoisses, mes craintes. — Regarde le bon côté des choses… me dit-elle. On pourrait être plus mal ! Non ?— C’est sûr ! Mais on pourrait aussi être mieux ! je maugrée. Elle m’embrasse. Son baiser est goulu, vorace. Ses lèvres aspirent les miennes, sa langue dure vient fouiller ma bouche, loin et longtemps. Ses mains palpent mon torse, elles s’insinuent partout, presque nerveusement. Et elle ferme les yeux ! Extraordinaire… Elle ferme les yeux, elle qui, ce matin, les conservait grands ouverts. C’est moi qui les laisse écarquillés, surveillant en coin, l’énorme masse rouge orangé, à la base blanche et bleu verdâtre, qui avance vers nous à très grande vitesse et nous illumine presque comme en plein jour. La main de Magali se fait de plus en plus baladeuse, plus précise aussi. Elle masse mon entrejambe à travers mon pantalon et, malgré ma frousse, j’arrive à réagir, à bander. Magali lâche mes lèvres, ma bouche, se penche au-dessus de mon sexe, qu’elle a réussi à déshabiller, et entreprend de m’exciter encore plus. Curieuse sensation que cette bouche fraîche, cette langue qui me titille, m’échauffe, alors que les premières flammes commencent à vrombir autour de nous ! Et plus les flammes nous lèchent, plus la bouche de Magali s’agrandit, ...
    ... m’avale, m’aspire, me mordille le bout, la hampe et les bourses, qu’elle termine de mettre à nu. J’ai l’impression d’être à la fois en enfer, pour la chaleur, les flammes, la fumée, et au paradis, par la sensation de bien-être qu’elle me procure. Maintenant le feu est tout autour de nous. À travers l’épaisse carrosserie, on entend les crépitements des flammes, les craquements des bois, la sève qui fuse des troncs qui éclatent et s’enflamment comme des centaines de torchères. Et avant que je n’aie le temps de poser ma main sur sa tête, ou sur ses fesses, Magali, en un tournemain, ôte son pantalon, au moyen de quelques contorsions, et m’enjambe. Elle s’installe à califourchon et s’empale sur mon sexe raidi par sa bouche. Elle se laisse tomber sur mes cuisses, m’absorbe en entier. Son antre est aussi brûlant que doit l’être l’extérieur, trempé de désir, et mon sexe coulisse dans le sien. Elle cale ses deux mains sur mes épaules, renverse la tête en arrière et entame une série de va-et-vient qui la mènent à la jouissance, rapidement, et recommence, plus doucement, avant d’accélérer… se tétanisant chaque fois, enfonçant ses ongles dans mon tee-shirt. Les yeux mi-ouverts, tant la luminosité des flammes est forte, je la vois jouir dans cette lumière si irréelle, rouge-orangée, faite de feu et de flammes dantesques. Elle a fait glisser sa chemise et se dépoitraille. Ses seins ronds, aux mamelons pointus et aux tétons fins et durs, oscillent au rythme effréné de sa pénétration. Elle se ...
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