Le feu de l'enfer...
Datte: 30/09/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
uniforme,
bizarre,
vacances,
forêt,
Collègues / Travail
collection,
volupté,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
pénétratio,
fsodo,
init,
... mord les lèvres, ferme les yeux. Ses cheveux sont en bataille, à force de remuer la tête de tous côtés. Ses cuisses sont dégoulinantes de sueur et d’excitation. De temps en temps, elle cesse ses mouvements, s’immobilise puis entame une série de contraction avec ses muscles du ventre, qui me massent presque douloureusement, avant de repartir pour une nouvelle chevauchée… qui est en train de me faire perdre la tête. J’ai calé mes deux mains sur ses hanches et accompagne ses mouvements. Sous mes mains, sa peau satinée est luisante de chaleur et de transpiration. Maintenant, j’ai presque enfin compris qu’a priori, on ne risque rien… Et je profite d’un moment, où elle s’immobilise et marque une courte pause dans la montée de son plaisir, pour changer de position. Je la force à bouger, à s’agenouiller sur la banquette, mains posées sur le dossier et, en me contorsionnant un peu, je me glisse derrière elle. Ainsi, à la lueur des flammes qui commencent déjà à diminuer, j’ai en premier plan une superbe vue sur ses fesses, où mon ombre inquiétante se projette et entame une danse satanique. La raie de ses fesses, largement écartée et éclairée dans cette position, met en valeur son intimité luisante de plaisir. Je l’empoigne par les hanches et c’est sa main qui me dirige vers son petit trou… aussi humide que son intimité, luisant d’elle, déjà ouvert et prêt à m’accueillir. Je n’ai pas beaucoup d’efforts à réaliser pour la pénétrer là. Le muscle s’ouvre, me masse au passage et se ...
... contracte pour mieux m’inciter à aller plus loin. Et j’entame des allers et retours qui ont pour effet de faire grogner Magali qui mord le dossier de la banquette. De temps en temps, elle redresse la tête, la fait virevolter de gauche à droite, feule comme une tigresse…et jouit en même temps que j’explose en elle… Ahanant, ayant dû perdre autant d’eau que des coureurs du Tour de France, nos corps luisants de transpiration, nous nous s’amollissons tout doucement et nous nous affaissons sur la banquette, en attendant de retrouver nos esprits, notre souffle. De temps à autre, je lève la tête vers l’extérieur… Le feu est passé… Les flammes les plus grosses s’éloignent et continuent à dévorer la végétation du vallon. Autour de nous, les troncs continuent à brûler, certains se consument. La lumière de l’incendie qui vient de nous submerger s’amenuise. La chaleur reste forte et l’odeur de la fumée commence à envahir la cabine. C’est une odeur âcre, mais qui sent bon. Elle se mêle à l’odeur de nos transpirations et de notre plaisir. Curieux mélange. Magali, commence à s’ébrouer, à émerger de la torpeur dans laquelle cette séance vient de la plonger. En se rajustant, elle me dépose un langoureux baiser sur les lèvres. — Merci… me dit-elle.— Merci ? Mais de quoi ?— C’était magique…— Magique ? Je ne comprends pas, explique-moi…— Tu n’as pas aimé ? Moi, j’ai adoré. Depuis longtemps, je rêvais de faire l’amour au milieu du feu, mais je n’avais jamais eu cette occasion. Ce soir, tu m’as fait vivre ...