Enfin déniaisé !
Datte: 02/10/2018,
Catégories:
hh,
jeunes,
copains,
forêt,
intermast,
Oral
init,
inithh,
... j’ai commencé à me vider. Fabien n’a pas bronché, il a continué de me sucer ardemment et chacun de mes jets devait lui couler dans la gorge. Il a ralenti le mouvement, mais il continuait de jouer avec sa langue sur mon gland. Puis je suis lentement redescendu sur terre, et du coup, je me suis rendu compte que je n’avais pas averti Fabien de ma jouissance imminente. J’ai eu un peu honte de ne pas avoir fait attention à lui. Quand j’ai ouvert les yeux et l’ai regardé, j’ai vu que lui aussi avait de nouveau joui. — Je suis vraiment désolé, je me suis pas senti partir, tellement ça a été vite et j’ai pas pu t’avertir. Je lui dis ça sur un ton d’excuses, mais il avait toujours ma bite molle dans sa bouche et il me regarda avec les yeux tout brillants. Il effectua une dernière succion, comme pour être sûr de ne rien avoir oublié et libéra ma queue. — C’était le but. Quand je t’ai eu en bouche, j’ai su que je voulais tout. Et t’inquiète pas, c’était le but de te faire jouir maintenant et j’ai bien senti que tu allais venir. Si j’avais voulu, j’aurais eu le temps de me retirer pour te finir en branlette. D’ailleurs, de te sentir venir dans ma bouche, ça ...
... m’a aussi fait lâcher la purée… En disant ça, il regardait sa bite, toujours enserrée dans sa main pleine de sperme. Il s’est levé et m’a présenté sa main. Comme pour lui faire un baisemain, j’ai attrapé le bout de ses doigts, mais au lieu d’y déposer un baiser, je les ai léchés et lui ai enlevé toutes traces de sperme. On s’est rhabillé, il était venu l’heure de rentrer. — J’ai hâte de remettre ça samedi prochain. On pourrait partir un peu plus tôt et venir directement ici, comme ça on pourrait profiter un peu plus longtemps ? J’étais content qu’il me le propose. De toute façon, j’en aurais fait autant. — Si ça va pour toi, on prend un pique-nique et on part vers dix heures ? Après je serai en vacances avec mes parents pendant deux semaines, alors il faudra en profiter un max ! On était retourné chercher nos vélos, et on rentra chez nous. En s’arrêtant devant chez lui, il me dit tout doucement : — Interdiction de se branler cette semaine. Il faut tout garder pour samedi. Il rentra son vélo dans le garage et me lança un « Ciao, à samedi ! », puis il disparut à l’intérieur. Je suis rentré chez moi, et je n’ai plus arrêté de penser au samedi suivant…