1. Enfin déniaisé !


    Datte: 02/10/2018, Catégories: hh, jeunes, copains, forêt, intermast, Oral init, inithh,

    ... tu puisses jouir au moins comme moi. Il remonta son slip et son jean sans le refermer et s’enleva de sa place. En me relevant, ma bite avait un peu plus de place mais provoquait une bosse énorme sur mon pantalon. Je pris place contre l’arbre. — Donne-moi ta montre pour que je puisse aussi te chronométrer, mais si c’est aussi bon, je doute que je tienne deux minutes, il t’a fallu à peine plus d’une minute avant de jouir.— Justement, je veux te rendre la pareille, alors dis-moi seulement quand tu vas jouir, je m’en fous si tu tiens dix minutes, j’ai trop envie de te sucer. En disant ces mots, il avait rebaissé son pantalon et, avec sa bite molle à l’air, il s’était agenouillé devant moi. — En plus, à voir cette bosse, tu bandes comme un étalon, on dirait. Je ne dis rien et le regarde s’agiter. Il avait ouvert mon pantalon et attrapé mon slip qui gardait toujours mon engin à l’étroit. Il avait approché sa tête et son nez était presque contre ma bosse. D’un coup sec, il descend pantalon et slip en même temps. Mon sexe en furie jaillit d’un coup sec et lui frappe le visage. En contrant le mouvement, Fabien ouvre sa bouche, gobe sauvagement ma bite et effectue quelques va-et-vient hyper rapides en serrant très fort mon bâton à plaisir entre sa langue et son palais. Puis il s’arrête, garde juste une légère pression de sa langue pour maintenir mon gland contre son palais. Ça c’est passé vite, mais c’est si bon, je crois que s’il avait continué dix secondes comme ça, j’aurais lâché ...
    ... la purée. Je me rends compte que j’ai les jambes en coton, je pense pas que je tiendrai debout. Comme Fabien avant, j’ai agrippé les branches et les serre de toutes mes forces. Il relâche doucement la pression et recule sa bouche. Ses lèvres humides me frôlent sur toute la longueur. — Alors, que penses-tu de ce début ? Je trouve que tu as un goût exquis, et quel engin ! j’ai l’impression que le mien est une miniature. Comme il s’était reculé, j’ai vu qu’il bandait de nouveau, et qu’en effet ma bite était bien plus longue. — C’est trop bon, j’ai jamais rien eu de comparable. Heureusement que tu t’es arrêté, sinon je lâchais tout, et sans pouvoir te prévenir, tellement c’était puissant et rapide. Pis même si la tienne est plus petite, elle te procure suffisamment de plaisir, il me semble. Il me regarda en acquiesçant et prit ma queue dans sa main. Il me branlait doucement et me léchait le bout du gland comme si c’était un esquimau glacé. J’ai vu que son autre main était sur son entrejambe, et à la voir bouger, il avait recommencé à se branler. De mon côté, j’appréciais chaque mouvement de sa langue, chaque succion de ses lèvres. Sa main ne tenait plus ma bite, mais il caressait mes couilles. J’en avais les frissons. Il a continué comme ça pendant un moment, j’aurais aimé que ça ne s’arrête plus tellement c’était magique. Puis il a accéléré ses mouvements et augmenté la pression sur ma bite. J’ai rien eu le temps de dire, j’ai juste lancé un long râle. Je me suis sentis partir et ...
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