1. Canicule


    Datte: 08/10/2018, Catégories: ff, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... enchaîne Julie qui n’est pas dupe de l’esquive. Moi, je n’ai pas eu besoin de Philippe pour faire des économies de sous-vêtements ! Depuis mon adolescence, j’ai pris cette habitude, j’aime cette liberté coquine. Plus les circonstances sont scabreuses, et plus cela m’excite. Le nombre de fois où je suis sortie trempée du confessionnal, tu peux imaginer !— Du confessionnal, répète Sophie ébahie.— Oui, reprend Julie en riant. J’ai eu l’énôôrrme chance d’être pensionnaire d’un collège-lycée de jeunes filles tenues par des bonnes sœurs, de la 6° à la terminale ! Et nos supers "G.O." nous imposaient une récréation passionnante tous les mercredi matin : chorale et confession à la chapelle. Sagement assises sur les bancs, dans nos uniformes impeccables, chaussettes blanches, jupes plissées bleu marine, descendant jusque sous les genoux, chemisiers blancs col Claudine et blazer bleu marine, tu vois le genre, on passait la matinée à chanter des cantiques pas très folk t’imagines, et on allait, chacune à notre tour, au fond de l’église confesser nos horribles péchés à un vieux cureton qui généralement roupillait dans sa cabane. Mais, lorsqu’il était malade, c’est-à-dire assez souvent, c’est un jeune prêtre qui le remplaçait. Un adorable jeune curé, sportif, sympathique, mignon, dont, bien entendu, les trois quarts des gamines étaient amoureuses. Enfin, t’imagines le tableau ?— Ah non pas du tout, raconte, ajoute Sophie qui ne veut pas laisser son amie s’en tirer à si bon compte.— Eh ...
    ... bien les séances au confessionnal étaient plutôt … épicées. Moi, à genoux, ma jupe retombant jusqu’aux pieds, derrière, mais relevée à l’avant, l’abricot à l’air, et entrain d’avouer des péchés, imaginaires pour la plupart, à un curé play-boy, "Mon Père, j’ai eu des pensées impures" et pendant ce temps-là, je me tripotais la zézette avec délice ! Ouah, c’était génial !!!— Ah là oui, j’imagine, la petite sainte … qui s’touche ! " Alors que les deux jeunes femmes rient de ces souvenirs, Sophie réalise que son amie a connut elle aussi la pension, et pendant plus longtemps qu’elle. Cette information est de nature à la rassurer et elle est bien décidée à la faire parler encore. — Mais alors, tu as passé 7-8 ans en pension ? Grands dortoirs ou petites chambres ?— Grands dortoirs jusqu’en troisième et petite chambre à deux ensuite. Du coup, les trois dernières années laissent plutôt des bons souvenirs … tu penses bien, à deux, seules, tranquilles dans notre petite piaule, on ne s’est pas toujours ennuyées.— Je vois, déclare Sophie prudente, j’ai eu droit à la pension aussi, mais en première et terminale seulement. Et toi, tu as passé ces trois années avec la même fille ?— Deux ans, et une autre en terminale.— Vous vous entendiez bien ? Le ton de Sophie est chargé de sous-entendus. Totalement émoustillée par cette conversation, la jeune femme est consciente d’avoir d’ores et déjà accepté, pire même, d’espérer tout ce qui pourrait survenir. Flottant dans cette ambiance trouble, le désir ...
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