Mon pauvre Bernard, suite et fin...
Datte: 15/10/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fplusag,
copains,
Collègues / Travail
jardin,
danser,
fête,
extraconj,
... pas, occupé à baratiner un genre de poupée Barbie. Et les assauts ne tardèrent pas. Nous connaissions bien les lieux pour y avoir joué depuis notre enfance. Au fond de la cour se trouvait une remise où avaient été stockés les meubles sortis du salon pour le cocktail. Le dossier d’un canapé sur lequel il m’avait fait basculer me soutint pendant qu’il soulevait ma jupe et qu’il m’enfilait. Troisième décharge électrique lorsqu’il me pénétra. Je ne tardais pas à être emportée par un orgasme qui atteignit son paroxysme lorsque je l’entendis pousser un râle, appuyant plus fort son ventre sur mes fesses et se répandant dans mon sexe ravi de tout ceci. Un peu d’ordre remis dans nos tenues, nous retournâmes danser après qu’il eut, pour la forme, invité sa nouvelle épouse entourée de sa famille. — Je coule, lui dis-je. Effectivement, je sentais sur mes cuisses s’écouler ce dont il m’avait si abondamment dotée. Je m’échappais jusqu’aux toilettes endiguer ces écoulements et renfiler ma culotte. Et nous dansâmes longtemps, collés, câlins. — Pourquoi ne m’as-tu jamais rien dit, lui reprochais-je, regarde tout ce que nous avons perdu depuis tant d’années. Confus, malheureux, il me répondit : — Mais je ne savais pas plus que toi que j’avais envie de toi et que tu avais envie de moi. Je n’ai jamais imaginé un seul instant avoir avec toi ce genre de rapport et, ce soir, je découvre que je ne sais pas comment je vais faire pour vivre sans toi. Sa main avait rejoint ma poitrine comme s’il était ...
... évident qu’elle devait se trouver là. Mon ventre se pressait contre le sien, à la recherche de ce sexe à nouveau dressé que je n’envisageais pas qu’il ne me pénètre pas une nouvelle fois, et très vite. — J’ai envie de toi lui susurrai-je à l’oreille. Mais comment nous échapper une nouvelle fois sans nous faire repérer ? Et c’est la mariée qui nous l’offrit, cette occasion ! — Mon chéri ! Tes parents tiennent à ce que nous dormions ici ce soir. Il faudrait aller à l’hôtel chercher ma petite valise et quelques effets pour demain. Tu veux bien y aller ? Et à moi : — Accompagne-le, il n’est pas très doué en matière de chiffons et tu verras mieux que lui ce dont je peux avoir besoin. Quelle aubaine ! L’hôtel étant à un quart d’heure de route, nous ne perdîmes pas de temps pour nous y rendre. Ma culotte ayant été prestement enlevée, j’étais prête mais je dus raisonner Jean-Philippe : — D’abord la valise Puis nous nous jetâmes sur ce lit qui aurait dû être leur couche nuptiale. Sans que je l’aie vu arriver sa bouche était collée à mon sexe et sa langue excitait mon clicli qui n’attendait que ça. — Viens ! lui dis-je. Le faisant coucher sur le dos, je lui détachai la ceinture et libérai ce que j’avais senti grossir avant de m’asseoir dessus et de me l’enfoncer aussi loin que possible. Ses mains se saisirent de mes seins et j’entrepris une chevauchée qui s’acheva par une expulsion au plus profond de moi et par un cri que je poussai, emportée par ce plaisir défendu. Je profitai d’être ...