Morgane et Ambrosius (1)
Datte: 20/10/2018,
Catégories:
ffh,
jeunes,
bain,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
init,
portrait,
historique,
historiqu,
... son sexe, auxquelles une nymphe soudainement surgie des eaux portait la bouche. Morgane rouvrit brusquement les yeux et se retourna. Gwion était assis sur la berge, jambes dans l’eau, yeux clos; Ceridwen, la belle Ceridwen, la tête entre les cuisses du jeune homme, léchait longuement son sexe dressé. Une langue serpentine et voluptueuse glissant le long du membre, en épousant les formes et semblant parfois s’enrouler autour. Morgane resta fascinée par la vision, troublée comme jamais, incapable de décider de ce qu’elle devait faire : fuir ? Se cacher ? Détourner les yeux ? Regarder jusqu’au bout ? Prendre sa part ? Jusqu’à présent, elle n’avait pas vraiment réalisé à quel point Gwion était désirable. Les minutes s’égrainèrent, interminables. — Tu vas te refroidir ainsi, murmura Ceridwen à l’oreille de Morgane qui sembla émerger de son rêve. Sa belle amie s’était glissée dans son dos, laissant errer ses lèvres et son souffle chaud le long de son cou. Des mains douces dessinaient des cercles sur son ventre, s’aventuraient parfois sur d’autres territoires et suscitaient des étincelles de plaisir. Face à elle, tout près, Gwion. Morgane n’avait qu’à tendre légèrement la main pour le toucher, pour éprouver sous ses paumes la souplesse de la chair. Elle frissonna lorsqu’il prit ses seins entre ses lèvres et en suça les pointes goulûment. La sensation, aiguë, se répercuta délicieusement au creux de ses cuisses. Deux corps nus l’enveloppaient, effleurant sa peau ou la frottant ...
... contre la leur, quatre mains la parcouraient sans relâche, tantôt légères, tantôt pressantes, toujours aventureuses, embrasant ses chairs à chaque passage, ravivant les flammes des foyers endormis. L’incendie se propagea d’un corps à l’autre. Gwion saisit Morgane par les hanches et la hissa sur la berge où elle s’allongea. Elle écarta d’elle-même les jambes et offrit au jeune guerrier ce que Diane n’avait sans doute pas offert à Cernunnos. Les lèvres et la langue qui l’exploraient prirent leur temps pour progresser sur ces terres encore vierges, jusqu’à ce que Ceridwen vînt joindre sa bouche incandescente à l’indécent ballet, attisant un feu ardent, que les ondes de plaisir libérées par Morgane ne parvenaient pas à apaiser. Gwion et Ceridwen, enflammés par leurs langues et leurs lèvres qui ne cessaient de s’effleurer et se toucher, finirent par ne plus s’occuper que d’eux, laissant Morgane achever de ses doigts ce qu’ils avaient commencé. La longue jeune femme se colla à son compagnon, seins contre seins, ventre contre ventre, sexe contre sexe. Il agrippa ses fesses. Elle l’entoura de ses jambes. Il la pénétra. Bouche contre bouche, langue contre langue, le baiser profond qu’ils échangeaient imprimait son rythme et sa couleur à leur union. Morgane revenait doucement à elle. La forêt était silencieuse. Un bruit étrange se mêla au discret bruissement de l’eau. Un cliquettement inattendu. Elle se redressa, à l’affût. — Ceridwen ! Gwion ! On vient ! Elle saisit en toute hâte ses ...