1. Romane, la gothique


    Datte: 29/10/2018, Catégories: fh, hplusag, inconnu, nympho, fépilée, bizarre, Collègues / Travail collection, Oral fgode, BDSM / Fétichisme piquepince, init,

    ... descendre entre ses lèvres, chaudes et humides. Ils suivirent la lamelle d’acier, pour se heurter à l’entrée de son intimité à une sorte de bouchon en acier. Se décollant enfin de ma bouche, Romane qui ronronnait comme une chatte en chaleur, me susurra : — Enlève-le doucement, c’est mon olisbos. Là, je restai totalement hébété. Non seulement c’était une soirée complètement dingue : se faire tailler une pipe dans une nef de cathédrale, par une jeune femme à la langue percée, cela ne m’était encore jamais arrivé. Découvrir que la susdite jeune femme disposait de chaînettes qui lui servait de soutien-gorge, cela m’avait étonné, puis amusé. Mais là, j’atteignai le comble de mon éducation sexuelle - pourtant entamée depuis plusieurs dizaines d’années. J’avais toujours cru avoir fait le tour de la question, rencontrant les choses et découvert les positions les plus surprenantes… eh bien, non ! Je n’étais pas au bout de mes découvertes avec Romane, la Gothique. Elle portait un olisbos, double. Sorte de petit bout d’acier martelé en forme de doigt dont un était ajusté à l’entrée de son vagin et l’autre dans son anus. Le tout se terminait par une mince lamelle, un ressort pour aller lui chatouiller le clitoris à chaque pas, à chaque mouvement ! Ainsi était-elle en perpétuelle partance vers le plaisir qui montait et descendait au gré de ses pas. Incroyable ! Et pour éviter de perdre son engin, il était enchaîné à un piercing qui le reliait avec une autre chaînette, à son nombril. ...
    ... Bien que le moment ne se soit pas réellement prêté aux confidences de ce genre, je me hasardai à l’interroger : — Mais, toutes les filles de ton mouvement, heu… chez les gothiques, portent ça ?— Non… seulement quelques initiées… Malheureusement, pour retirer cet ustensile, il fallait qu’elle se contorsionne et là où nous étions, cela ne faisait qu’accentuer son plaisir. Alors, jamais à court d’idées, Romane arrêta de se tortiller dans tous les sens et rabaissa son pull-over. Elle m’attrapa la main et me fit redescendre quatre à quatre l’escalier, parcourant la nef à grands pas en me tirant derrière elle ; nous empruntâmes un nouveau passage qui menait vers une crypte. Tirant d’une de ses grandes poches une lampe électrique, elle éclaira un étroit escalier à vis. La descente ne nous prit que quelques secondes. L’air de la crypte était chargé d’une odeur de moisi et de poussière. — Viens, là personne ne nous dérangera !— Comment ? Parce qu’à cette heure de la nuit, on peut être dérangé ici ?— Ben, on n’est pas le seul couple à vouloir baiser dans la cathédrale ! La découverte de "l’underground" de la cathédrale de Strasbourg me laissait pantois. Jamais je n’avais imaginé, même pas pu penser que des couples pouvaient venir s’aimer en ces lieux. Après avoir rapidement fait un tour d’horizon (limité) autour d’elle, Romane avait coincé la lampe dans l’encoignure d’un pilier et en deux temps et trois mouvements, se déshabilla complètement, déposant ses affaires contre une pierre ...
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