Romane, la gothique
Datte: 29/10/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
inconnu,
nympho,
fépilée,
bizarre,
Collègues / Travail
collection,
Oral
fgode,
BDSM / Fétichisme
piquepince,
init,
... sculptée. Tombe ou autel ? Je ne cherchai pas à savoir ni à comprendre, subjugué par cette fille qui se dénudait devant moi. Dans le faisceau de lumière, son corps opalescent m’apparaissait diaphane. Les bouts de ses seins en pommes, avec leurs piercings qui brillaient et la chaînette qui les tenait hauts. Son ventre replet, orné dans son nombril d’une bouche d’où partait une nouvelle chaîne vers son intimité, rasée et nue. Ses cuisses pleines, ses fesses dodues. Je ne ratai aucun de ses mouvements. Les gestes étaient précis, rapides, utiles. Elle avait juste gardé ses bas à résille et ses grosses chaussures. Une fois nue, alors que je restai statufié, elle vint vers moi et patiemment, elle défit mon pantalon qui tomba sur mes chevilles et m’emboucha pour une nouvelle séance de turlutte. Comme précédemment, la verroterie plantée dans sa langue eut un effet magique et rapidement je sus montrer fièrement que je pouvais être à la hauteur de ses espérances. Et elle interrompit son exercice dès les premiers spasmes de plaisir, me tournant immédiatement le dos et prenant appui sur la pierre où elle avait posé ses habits, pointa ses fesses vers mon engin. Dans le cône de lumière de lampe, j’allai trifouiller son intimité pour la libérer de son infernal objet, le double olisbos. "Plop ! Plop !" Comme un bouchon de champagne quand il est extrait de son goulot, le double olisbos fit un curieux bruit en sortant des orifices où il avait été logé. Des orifices qui suintaient de ...
... jouissance et laissaient s’écouler de longues langues de plaisir sur les cuisses nues et blanches de Romane. Tendant ses fesses hautes, l’éviction forcée de l’engin à plaisir permanent lui fit émettre un long cri de plaisir étouffé par une forte morsure de son avant-bras. Étouffé aussi le "Viens !" qui m’incita à venir remplacer l’objet d’acier par mon membre raide et chaud. Elle ne voulait ni de mes doigts, ni de ma langue. Elle allait à l’essentiel. La pénétration. Elle n’aspirait qu’à se faire empaler et que je la prenne tel un sauvage, un Attila des jeunes filles. Alors, je me suis exécuté. J’ai obéi. J’ai enserré sa taille et mon sexe a trouvé naturellement le chemin du sien. Elle était trempée de plaisir, enflée de la présence de l’olisbos qu’elle trimbalait toute la journée. Il ne fallut que quelques poussées pour atteindre le fond de son intimité et que déjà elle commence à jouir. J’essayai de prolonger le plaisir, sa montée, d’en contrôler l’intensité, la durée, de marquer des paliers. Rien. Elle ne voulait rien. Elle voulait jouir, là, comme une folle. Aller au bout de sa jouissance. Sentir mon sexe marquer le sien de son empreinte. Contre ses fesses je butais et pourtant elle se trémoussait, tentait de les écarter encore et encore pour que je puisse aller encore plus loin, plus fort. Elle aimait se sentir prise, tenue, empalée, à la merci de ma jouissance. Une jouissance qui, immanquablement, est arrivée et s’est déversée, a largement débordé dans un immense mugissement de ...