Babou
Datte: 29/10/2018,
Catégories:
gros(ses),
grosseins,
fh,
pénétratio,
copains,
... copain vient me voir… Je suis hyper-heureuse. Babou habite dans une petite impasse qui jouxte les rues piétonnes, un immeuble assez modeste au fond d’une cour. Je me pointe chez elle avec une bouteille de mauvais champagne. J’ai longtemps tergiversé pour les fleurs mais, finalement, je me suis dit que ce ne devait pas être le genre de fille à aimer les fleurs. La femme qui vient m’ouvrir est, pour moi, une parfaite inconnue, elle est outrageusement maquillée et exhale une forte odeur de parfum capiteux, le genre de parfum fortement fruité qui vous fait chavirer. Elle est totalement méconnaissable avec ce body très moulant qui ne cache absolument rien de ses rondeurs, gorge très profonde et bourrelets adipeux. Je suis scotché sur place, le spectacle me renverse, je vacille. J’essaie de me raccrocher désespérément à ses avant-bras de camionneur mais mon regard n’arrive plus à se détacher de cette poitrine qui m’est carrément offerte en pâture. Devant mon ahurissement, un sourire de satisfaction à peine dissimulé perle au coin des lèvres. Elle referme lentement la porte derrière moi, je me retourne pour lui faire face. Si elle n’a pas décidé de m’allumer, alors je n’y comprends rien ! Ce petit haut, beaucoup trop petit pour elle, lui colle littéralement à la peau, il craque de tous les côtés, ses rondeurs sont prêt d’en faire exploser les boutons. Pourtant, loin d’être grotesque, elle est au contraire incroyablement excitante. Même chose pour ce maquillage délirant : chez une ...
... autre ce pourrait être atrocement vulgaire mais chez elle c’est incroyable comme ça lui va bien. Elle est métamorphosée, la vilaine bourrue est devenue objet de désir. Mais la voici qui s’approche de moi, qui tend sa bouche vers moi, qui réclame un baiser. Elle sait ce qu’elle veut, la garce, elle a bien calculé son coup. Et le pire c’est que je trouve ça vraiment très agréable. Nos bouches se cherchent, se réclament, s’attirent et s’apprécient, elles semblent faites l’une pour l’autre. Je suis comme dans un rêve, ce baiser est divinement bon, à tel point que maintenant j’enlace Babou, que je l’embrasse avec fougue et qu’elle me répond avec ardeur, à pleine bouche, à pleine langue, sa grosse poitrine brûlante écrasée contre la mienne. Mais ce n’est là qu’un avant goût de ce qui m’attend car je sens qu’elle veut plus, beaucoup plus, et tout de suite, sans plus attendre. Elle est fiévreuse et démoniaque. Sa jupe mi-longue à peine troussée qu’elle colle déjà son sexe à moi, elle le frotte fébrilement sur ma main, elle réclame une caresse : — Arrache-la, gémit-elle entre deux baisers, tandis que je suis en train d’écarter sa culotte. Arrache-la, répète-t-elle un peu plus tard avec plus d’insistance. La culotte humide d’envie craque sans trop de peine. Ses poils dessous sont trempés, sa chatte est toute poisseuse, bouillonnante de désir, un volcan en éruption. Je bande comme un sagouin. Une de ses mains pétrit mon sexe tandis que l’autre s’attaque à ma ceinture. Elle est fébrile, ...