1. Babou


    Datte: 29/10/2018, Catégories: gros(ses), grosseins, fh, pénétratio, copains,

    ... te vois avec d’autres filles. Alors, une de plus, une de moins, j’ai appris à vivre avec.— T’es trop cool !— Ne crois pas ça, je les hais toutes tes salopes. Je ne suis peut-être pas la plus jolie mais moi, au moins, je suis prête à te donner tout ce que tu désires, ma vie entière si tu le souhaites. Je t’aime trop pour ne pas me donner entièrement à toi. Elle est radieuse, complètement transformée. Elle évolue dans la cuisine avec grâce malgré ses épaules très larges et sa carrure d’athlète. Et puis, ses courbes, ainsi mises en valeur, sont d’une beauté à faire pâlir. — Comment vas-tu lui expliquer ?— Ne t’inquiète pas, ça c’est mon problème… Le lendemain matin, elle téléphona à son patron pour lui annoncer sa démission. Elle n’était pas très fraîche, moi non plus d’ailleurs, il faut dire que nous avions fait l’amour toute la nuit. Le vieux Francis, à l’autre bout de la ligne, semblait vraiment furax. Mais Babou, sans se démonter, lui expliqua que c’était ainsi et pas autrement et qu’elle ne reviendrait pas sur sa décision. Elle ne pouvait plus attendre, elle avait décidé de prendre le train avec moi. Le temps que je passe chez mes parents prendre mes affaires et nous voguions vers d’autres rivages… Le soir même elle emménageait dans mon petit studio où nous avons refait l’amour avec ...
    ... intensité. Babou avait de l’expérience en matière amoureuse. Elle n’avait pas eu trente-six mille aventures mais son dernier petit copain (celui qu’elle congédia par téléphone) l’avait bien initiée et elle était fin prête pour toutes les tentatives. Fellation et sodomie n’avaient plus aucun secret pour elle et, pour ce qui est de l’inventivité, elle était loin d’être la dernière. Et surtout, elle n’était jamais rassasiée, elle en voulait toujours plus et se donnait sans compter. Les mois qui suivirent nous avons exploré dans le menu détail tous les rivages de l’amour et même les plus cochons. Elle m’a entraîné jusque dans les boîtes à partouses, m’a incité à avoir des expériences masculines. Elle voulait que nous allions jusqu’au bout de nos fantasmes et que je crève, par exemple, de jalousie en la voyant dans les bras d’un autre homme. Elle désirait que je l’attache, que je la fiste. Elle voulait tout connaître, tout savoir, tout partager : la femme idéale en somme… Depuis, c’est devenu ma femme, une très belle femme, opulente, épanouie et bien dans sa peau, même si elle a toujours ces épaules de camionneur et puis cet air un peu bourru qui finalement lui va si bien. Elle m’aide à la pharmacie et nous avons deux beaux enfants. Nous sommes heureux et, dix ans plus tard, nous nous aimons plus que jamais. 
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