Babou
Datte: 29/10/2018,
Catégories:
gros(ses),
grosseins,
fh,
pénétratio,
copains,
... elle est pressée, elle s’acharne sur mon pantalon pour libérer mon sexe. En position instable, elle s’écroule bientôt sur la moquette, à peine retenue par le mur, elle m’entraîne dans sa chute et je m’écroule sur elle. L’instant d’après, la voici qui saisit mon sexe et qui le guide dans sa caverne où il rentre comme dans du beurre. J’ai l’impression d’être dans les marécages tellement elle est mouillée. Elle m’agrippe par les fesses, me pousse tout au fond de sa grotte, c’est incroyable comme elle en veut, chaque coup de boutoir lui arrache des gémissements. C’est une baise dans l’urgence où chacun ne pense qu’à son propre plaisir. Elle hurle bientôt sa jouissance. J’ignore si les murs sont épais, mais ses voisins pourraient tout entendre. Elle crie, elle couine, elle éructe, son corps est traversé de spasmes. Je m’acharne comme un damné entre ses cuisses avant de la remplir en abondance sans prendre la moindre précaution. Baiser ainsi sans capote. La jouissance à peine retombée, je le regrette déjà, moi qui suis plutôt d’un naturel méfiant. Qu’avons-nous fait là ? Baiser comme ça, comme des bêtes, l’instinct animal… Mais c’était si bon ! Elle m’attire à elle, elle m’embrasse, elle me rassure, mon sexe toujours fiché en elle dans son antre désormais poisseux. Je sens bien qu’elle est très éprise, cela pourrait me faire fuir mais c’est étrange, j’en suis presque heureux. — Et bien, Jérémie, depuis le temps que j’en avais envie, me confie-t-elle en reprenant ses esprits. ...
... Lorsque j’étais plus jeune, j’étais amoureuse de toi. Ça me rendait vraiment jalouse lorsque je te voyais sortir avec toutes ces filles… Et l’année où tu es parti à Lyon, j’ai beaucoup pleuré, je pensais ne plus jamais te revoir.— Mais pourquoi tu ne m’en as jamais parlé ?— J’avais peur de me faire jeter. Je me suis souvent fait jeter, avoue-t-elle avec une pointe d’émotion dans la voix. Une larme roule sur sa joue. Je la serre contre moi, j’ai envie de la protéger, elle n’a pourtant rien d’une fille fragile. — Alors, on se le mange ce poisson, demande-t-elle en se relevant ? Elle est joyeuse et elle est belle. — En ce moment, j’ai un petit copain, me confie-t-elle un peu plus tard, alors que nous sommes à table. Je ne l’avais encore jamais trompé, je suis plutôt du genre fidèle. Mais là je ne regrette rien, au contraire, je suis prête à recommencer quand tu veux, c’est tellement bon avec toi. Demande-moi de t’épouser et je dis « Oui » tout de suite.— Tu es folle !— Oui, folle de toi.— Il est où ce petit copain ?— À Clermont, je ne le vois que le week-end.— Il te fait bien l’amour ?— Il se débrouille.— Il te fait bien jouir ?— Il me donne beaucoup de plaisir.— Plus que moi ?— Hihi, tu ne serais pas un peu jaloux, par hasard… je suis hyper-heureuse.— Et si je te demandais de ne plus le voir ?— Et si je te demandais de vivre à Lyon avec toi…— Oh tu sais, chez moi, ce n’est pas très grand.— Je me ferais toute petite.— Et puis, moi aussi j’ai des copines…— Cela fait des années que je ...