1. Merci, Harshad


    Datte: 06/08/2017, Catégories: fh, fhh, couleurs, Collègues / Travail voyage, cérébral, Partouze / Groupe initiatiq,

    ... dans la méditation. Je ressentais encore des frissons, une douce sensation de volupté, une forme de légèreté. Je le devais à cet homme. Il fallait que je sois confiante. Au moment où j’ai cherché son regard, il a ouvert les yeux. Il s’est levé, entrouvert la porte, et a prononcé quelques mots incompréhensibles. Enfin, j’avais quand même entendu « Omeed ». Il avait sans doute envoyé le chercher. En effet, quelques instants plus tard un homme est entré. Massif, le teint mat, il avait le crâne nu à l’exception d’une longue queue de cheval tressée noire et dense. Il n’était pas très grand mais assez large d’épaules. Son visage enfantin paré d’un large sourire m’a rassurée. Il semblait jovial. Harshad s’est adressé à lui dans sa langue. Dès les premiers mots, Omeed a baissé la tête en signe de déférence, attendant que le maître termine son propos. Il lui a répondu en hochant la tête et en prononçant quelques mots. Le maître a alors fait un geste ; les bras grands ouverts et les paumes face à face, il a rapproché ses mains lentement jusqu’à ce qu’elles se touchent. Omeed a quitté son short, dévoilant une nudité animale. Il s’est agenouillé devant moi. J’étais encore assise, les jambes serrées sur un côté. Il a saisi mes chevilles pour écarter mes jambes et les poser sur les siennes, sans brutalité mais assez fermement. Je savais que nous allions nous toucher, et pourtant je n’étais pas prête. Qu’allait-il penser de moi ? Me prendrait-il pour une pute ? Harshad a senti mon ...
    ... appréhension. — Ne vous préoccupez pas de ce qu’il pense, Chalipa. Il ne pense qu’à votre plaisir, à rien d’autre. Il se moque de qui vous êtes et de votre aspect extérieur. Ce qui l’intéresse, c’est vous. J’ai cessé de résister, laissant mes jambes reposer sur les cuisses d’Omeed. Il m’a attirée vers lui et m’a prise dans ses bras pour me coller contre son torse. Son sexe avait pris de l’ampleur et se dressait entre nous, contre mon ventre. Ses mains se sont mises à explorer mon corps alors que sa langue me goûtait le cou et les épaules. Rapidement, j’ai eu l’impression qu’il avait 20 mains, 30 peut-être, tellement il me touchait partout. Il a pétri mes fesses et mes seins, mes cuisses et mes hanches, mes bras et mes pieds, tout ça en même temps ; du moins c’est ce que je ressentais intensément. Je n’ai pas toute de suite remarqué qu’Harshad s’était assis derrière moi. Il avait ses mains de part et d’autre de mon visage. C’est la chaleur qui s’échappait de ses paumes qui m’a surprise. Mon corps tout entier s’est mis à bouillir. Je n’éprouvais plus aucune peur, plus aucune appréhension. Dans le secret de cette petite pièce au bout du monde, j’étais prête à me donner sans retenue et sans limite. Je me suis redressée, cherchant à approcher ma vulve du gland d’Omeed, mais son sexe était trop long, et manifestement il n’avait pas projeté de me pénétrer si tôt. J’en avais pourtant une envie irrépressible. Mon ventre me semblait creux et vide, au point d’en devenir douloureux. L’envie qu’il ...
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