1. Merci, Harshad


    Datte: 06/08/2017, Catégories: fh, fhh, couleurs, Collègues / Travail voyage, cérébral, Partouze / Groupe initiatiq,

    ... me prenne était devenue insupportable. Le visage coincé dans le cou d’Omeed, je tentais désespérément de m’empaler quand j’ai vu Philippe debout devant moi. L’espace d’un instant, je me suis demandé si Harshad avait demandé qu’il vienne quand il avait appelé Omeed, ou s’il était là par hasard. Puis j’ai cessé de me poser des questions. Je ne me suis pas préoccupée de voir Philippe quitter ses vêtements et s’asseoir sur le côté. J’ai cherché au plus profond de moi ces sensations qu’Omeed me procurait. Il n’avait pas cessé de me caresser et de m’embrasser, tendrement, parfois fougueusement. Maintenant je voulais qu’il me prenne, qu’il vienne combler ce vide dans mon ventre, qu’il vienne écarter mes chairs. Omeed a basculé sur le dos sans me lâcher. Je me suis retrouvée sur lui, à califourchon, enfin libre de mes mouvements. J’ai saisi son sexe tendu pour le diriger vers ma vulve. Cette fois, il s’est laissé faire. Je l’ai senti entrer en moi, enfin. Il était dur, chaud, puissant, viril. D’abord lentement puis de plus en plus fort, il m’a baisée jusqu’à ce que mon corps quitte le sol à nouveau. J’avais l’impression de flotter, en sueur, extatique, légère. Il m’a secouée sans jamais cesser de me caresser. J’ai joui rapidement, très fort, alors qu’il me serrait dans ses bras. Je crois qu’à ce moment-là, en hurlant, j’ai aussi pleuré. Ce n’était pas seulement un orgasme, mais le sacrifice de toutes mes tensions, de toutes mes frustrations, qui venait d’avoir lieu. Philippe était ...
    ... resté là, perplexe, observant sa collègue se déchaîner. Harshad est venu s’asseoir derrière lui et a couvert ses tempes de ses mains. J’ai compris que nous n’en avions pas terminé, qu’il allait lui aussi se laisser aller. Omeed a poursuivi ses caresses, me retournant à plat-ventre. Il m’a possédée à nouveau, tendrement, profondément, me remplissant d’émotions violentes et de spasmes longs. Savoir si nous étions beaux ainsi accouplés ne m’intéressait pas. Je ressentais chaque parcelle de sa peau, son souffle, sa sueur, ses muscles, son sexe. Ce type était une vraie machine, infatigable, viril. Philippe nous regardait toujours, l’air absent, les mains d’Harshad toujours sur ses tempes. Plusieurs fois j’ai senti des vagues de jouissance me submerger sous les coups de boutoir d’Omeed. Mais j’en voulais encore, toujours plus. Je ne sais pas s’il comprenait le français ou le perse. J’ai tout essayé pour lui demander de me baiser plus fort, de me défoncer, de me posséder. S’il ne comprenait pas les mots, il en percevait le sens. Il a abusé de moi autant que je le souhaitais, jusqu’à me laisser allongée sur le dos, les cuisses ouvertes, la vulve gonflée et sensible. Il s’est reculé. Philippe s’est levé pour me prendre à son tour, et je suis repartie de plus belle. Il n’avait pas la vigueur bestiale d’Omeed, ou même un sexe aussi raide et gros, mais le plaisir qu’il m’a offert ce soir-là était tout aussi intense, tout aussi irréel. Quand j’étais sur lui, montant et descendant sur son ...
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