Deux maîtresses femmes
Datte: 13/11/2018,
Catégories:
ff,
ffh,
hsoumis,
fdomine,
Oral
hdanus,
coprolalie,
init,
... qu’elle absorba sans plus de formes. Plus elle relâcha ma queue, se détourna, regarda Émilie, saisit son visage et l’embrassa à pleine bouche. Émilie eut un hoquet, recula et cracha, rejetant le sperme que l’autre femme avait gardé en bouche et lui avait transmis. — Sale pute ! Tu me le paieras ! Je crus qu’elle allait lui mette une claque mais je fus stupéfait lorsque je la vis prendre le visage de Virginie entre ses mains et l’embrasser à en perdre le souffle. — Mais tu as bien fait ! Je veux que tu m’enseignes à aimer le foutre ! fit Émilie à son amante quelques secondes plus tard. Je veux en boire dans ta bouche autant qu’il en faudra jusqu’à m’y habituer et apprécier !— Je te le promets… lui répondit l’autre. Quelques minutes plus tard, nous étions tous les trois allongés sur les draps. — C’était fabuleux, tout ça, fit ma femme. Il faudra recommencer…— Je suis d’accord. Mais n’oublie pas ta promesse… répondit Virginie.— C’est vrai, ma chérie, je n’oublie rien. Je tiendrai parole.— Je peux parler, maintenant ? fis-je avec précaution. Émilie rit : — Mais oui, mon chéri. Pour l’instant, du moins. Mais tu reprendras ta posture d’esclave lorsque je te le demanderai, n’est-ce pas ?— Bien entendu.— Et tu feras tout, absolument tout ce que je te dirai…— Bien entendu, ma chérie. Mais que voulait dire Virginie par promesse ? Émilie consulta son amante du regard. Celle-ci eut un petit mouvement de tête d’approbation. — Tu vois, mon amour, dans la vie tout est échange. Pour te ...
... faire ce cadeau, pour te laisser me regarder au lit avec Virginie, j’ai dû lui promettre quelque chose en échange. Et je compte sur toi pour m’aider à tenir parole.— Qu’est-ce que c’est ?— Ton fantasme, c’était de me voir avec une autre femme, n’est-ce pas ? Le mien, c’était de te soumettre à mon bon plaisir. L’envie de Virginie, l’idée qui la fait mouiller comme une folle, c’est de voir deux hommes ensemble. Elle en a déjà trouvé un de son côté. Maintenant, grâce à toi, nous avons le deuxième. Donc à notre prochaine fois ensemble, tu auras quelqu’un d’autre à satisfaire de toutes les façons… Je restai assommé. — Vous voulez me faire baiser un homme ?— Le baiser, te faire baiser, le sucer, te faire sucer… Absolument tout, fit Émilie avec un petit sourire cruel. Regarde comme rien que l’idée excite déjà Virginie. Elle le mérite bien, n’est-ce pas ? Je regardai l’autre femme. Aucune doute : ses seins pointaient férocement, ses lèvres étaient écartées, celles de sa bouche comme celles de son sexe, bien visibles entre ses jambes écartées. Elle respirait bruyamment et de ses doigts entre ses cuisses elle se caressait gentiment en nous regardant. La voix un peu rauque, Virginie intervint : — Juste un détail : j’ai senti son cul avec mon doigt. Il est très serré. Or pour qu’il prenne une queue, il faudrait l’élargir un peu pour ne pas qu’il soit blessé. Il faudrait l’entraîner afin qu’il accepte d’abord deux, puis trois doigts et enfin une queue bien raide. Émilie regarda son amie, eut ...