1. Tendresses et surprises océanes


    Datte: 14/11/2018, Catégories: fh, voisins, vacances, bain, Oral 69, pénétratio, occasion,

    ... ses fesses dorées de soubresauts spasmodiques. Elle étouffe un brûlant soupir, demeure un instant paralysée, semble assommée puis brusquement elle me repousse et se dégage haletante. Il ne s’agit plus de dérobade et courant en riant dans le couloir, elle retire enfin l’unique vêtement dont elle se couvrait qu’elle abandonne à terre derrière elle. Je la poursuis et la retrouve dans la chambre, splendidement nue et offerte, étalée sur le lit. J’achève à mon tour de me déshabiller et me penchant sur elle pour embrasser un téton mendiant qu’elle me tend comme une friandise, je constate, oh surprise, que le reptile qui se prélassait avant-hier encore sur ce sein l’a déserté. J’interroge, en désignant l’endroit : — Tu as effacé ton tatouage ? Elle regarde son épaule sans avoir l’air de comprendre. — Tatuaje ? répond-elle interrogative. Du bout du doigt, je trace la figure reptilienne qu’elle a effacée. Là, soudain, elle éclate de rire : — Tatuaje… Vicenta no es Maria. Ma confusion est extrême, quand je réalise que, sur la plage, j’ai fait l’amour avec Vicenta croyant rendre cet hommage à la fille. C’est donc ce qui explique les réticences de cette dernière face à mes assauts précédents et je l’ai en quelque sorte presque contrainte à l’encontre de mes intentions. Je dois faire une drôle de tête, car son hilarité redouble, puis triple lorsqu’elle saisit le fin mot de l’histoire. La friponne se gausse de ma déconfiture, et s’ébaudit gaiement des fredaines de sa mère. Cette ...
    ... déconvenue – toutefois en est-ce bien une ? – me coupe tous mes moyens et moi qui étais dans les meilleures dispositions, me voici queue basse, au propre comme au figuré. Mes faibles aptitudes à distinguer les physionomies m’ont déjà valu des déboires, mais jamais aussi cuisants, ni somme toute aussi agréables. Voilà en conséquence deux serpents qui se dégonflent simultanément, car la surprise a des effets dévastateurs sur ma verge. Maria, très câline, m’attire vers elle et joue d’une main avec les frisottis de mon poitrail tandis que de l’autre elle entreprend de rendre sa vigueur à mon boutoir qui réagit favorablement à cette caresse ferme et efficace. Imperceptiblement, elle pivote sur le lit de sorte à placer son visage face à mon dard et le mien face au plus enchanteur des jardins d’éden. Dire que nous nous précipitons sur ces friandises exposées à nos appétits libidineux relève de l’euphémisme. Bientôt, je défaille, elle se pâme et nous confondons nos émois ne sachant pas si nous tirons notre propre jouissance du fait d’en recevoir ou d’en dispenser. La polissonne est émérite en cet art et je ne tarde pas à bander ainsi qu’un faune surprenant les ébats d’un essaim de nymphettes. C’est à cet instant qu’elle m’arrache la conque parfumée des lèvres et se retournant vient s’empaler sur moi, m’emprisonnant dans un vagin constricteur. Je m’hallucine des mouvements de la belle écuyère qui me chevauche jetant sa tête alternativement d’avant et d’arrière, fouettant l’air de sa longue ...