1. Tendresses et surprises océanes


    Datte: 14/11/2018, Catégories: fh, voisins, vacances, bain, Oral 69, pénétratio, occasion,

    ... crinière ébène, balançant follement ses seins au rythme de sa cavalcade. Je les accompagne de ceux de mon bassin tout en pétrissant ses fesses. Très vite, elle m’arrose du moût de sa félicité et j’admire la vitalité qui l’élève sur mon épieu pour retomber sur mon ventre avec des chuintements obscènes qu’elle souligne par ses rauques halètements. L’explosion qui nous secoue ensuite est violente et partagée. Elle fauche brutalement Maria qui vient s’abattre sur moi. Nous sommes encore dans les remous de ces plaisirs quand soudain, la porte d’entrée s’ouvre et j’entends qu’on pénètre dans la maison. Un peu gêné, je regarde Maria qui n’a pas l’air de s’en formaliser, pas plus d’ailleurs que lorsque sa mère entre en tornade dans notre refuge. Je cache piteusement mon sexe ce qui la fait s’esclaffer. Elles échangent de brèves appréciations qui me restent incompréhensibles, mais ma vanité croit discerner les mots « buen amante » dans les propos de Vicenta et constater un acquiescement résolu de la part de sa fille. Tout cela me rassure et je propose à l’intruse de nous rejoindre à son tour sur la couche. Il ne faut pas exagérer, je suis tout de même avec des espagnoles et le Bon Dieu n’en est jamais tapi trop loin. Là, pour le coup, la maman s’indigne et lâche des borborygmes qui ressemblent à : « Con mi hija, no, sería un pecado ! ». J’y reconnais hya et pécado, la fille et péché, et tente de lui expliquer combien le pecado peut être bon dans certaines occasions et que les ...
    ... vanités de la vertu, en ces domaines tout du moins, ne sont pas de bon conseil. Elle affiche un air terrifié, se fâche presque et quitte prestement la pièce. Nous essayons de reprendre nos ébats, mais si Maria ne semble pas perturbée, j’ai pour ma part beaucoup de difficulté à oublier la présence espionne de sa mère séparée par une frêle cloison et le cœur n’y est plus. Malgré quelques voluptueuses cajoleries, je reste embarrassé et préoccupé. Bientôt je décide de prendre congé, ramasse et enfile mes fringues si hâtivement que cette célérité n’est pas exempte de muflerie. Traversant le salon, je m’approche de Vicenta bien décidé à ne pas me retirer sans lui soustraire un dernier baiser. Nul n’est besoin de l’y forcer et elle m’abandonne sa bouche tout en plongeant une main impudique dans mon bermuda. Peut-être qu’après le crépuscule, sur la plage… Je la quitte et à peine rentré chez moi, j’entends un énorme éclat de rire qui émane du gîte mitoyen. Il roule avec la force d’un coup de tonnerre puis s’apaise un peu avant de repartir et de s’enfler jusqu’à se faire tonitruant. Pas de doute possible, elles se foutent de moi et je les imagine se contant leurs aventures, Maria imitant ma mine déconfite lorsque je ne décèle aucun reptile sur son épaule. Elles se calment pour récidiver ensuite avec des pics de virulence. J’y comprends que ces dames se sont octroyé un petit extra et que naïvement je me suis prêté au rôle de « jouet sexuel » dans leur récréation. Au demeurant, je n’ai pas ...