1. Tendresses et surprises océanes


    Datte: 14/11/2018, Catégories: fh, voisins, vacances, bain, Oral 69, pénétratio, occasion,

    ... qui essayait de se dégager. Là, maintenant, elle lance un léger et bref cri de reddition dont je ne peux deviner s’il exprime dépit ou satisfaction et dans des mouvements contraires, elle resserre ses cuisses pour m’interdire de m’aventurer dans ses chasses réservées et se love contre moi tout en enchaînant ma nuque. Me mettant à genoux devant elle, j’accroche la fine cotonnade de mes deux mains et l’abaisse sur ses chevilles. Un pubis superbe s’exhibe décoré d’un frisson dru et noir qui fait mon régal. Ruisselant des fureurs marines, ce dernier m’était apparu moins dense. Mouillé, il l’est cependant aussi à présent bien que par d’autres sèves. J’y porte de vaporeux baisers et je sens la rebelle qui se détend et s’amollit, accepte toute mon affection, semble même la souhaiter plus résolument démonstrative et appuyée. Elle rabat les pans de son habit sur ma tête qu’elle tire et presse contre son mont de Vénus. Dans la soyeuse prison, je m’insinue entre les gardiennes du tabernacle et entoure de mes attentions le frêle bourgeon qui, au lieu des relents maritimes, exhale actuellement des arômes ténus et envoûtants. Là-haut on tressaute et mugit alors qu’ici-bas la capsule gonfle et libère un pistil délicat et odorant. Point n’est besoin d’insister beaucoup avant que de liquoreux onguents ne me baptisent tandis que la jeune et belle dame hurle à l’agonie. Je me redresse pour découvrir son visage ravagé, grimaçant des émotions qu’elle vient d’essuyer. Je la conduis doucement vers ...
    ... la grande table en bois brut sur laquelle la belle naïade qui a totalement oublié ses velléités de combat se courbe en avant, tout en écartant complaisamment les jambes. Je regrette presque cette capitulation trop rapide, moins excitante que nos récents affrontements. Je remonte les pans du peignoir haut sur ses hanches découvrant une croupe hallucinante, veloutée et mordorée que la splendide sirène, figée dans une impatiente attente que dénoncent les frémissements qui parcourent son épiderme, m’offre sans condition. Il serait fort malséant de différer davantage son plaisir. Je porte ma verge entre ses cuisses et viens frapper à l’huis déjà entrouvert du temple qui l’accueille affablement. Elle se recule et je m’avance, m’enfonçant dans cette gaine de délice qui me paraît plus étroite qu’antérieurement lorsque la mer la lubrifiait. Je glisse une main sous son ventre pour dénicher l’interrupteur qui décuple ses tensions ; de l’autre, j’entoure son sein aplati contre le bois dur et froid. Elle ondoie sous mes assauts et émet de petits jappements vifs qui se transforment progressivement en longs et graves hululements. La belle gigote et contracte ses chairs sur ma colonne qui, reconnaissante, ne tarde pas à lui prodiguer son bouillon. Maria dès lors tremble et se raidit. Ses mains se crispent si fort sur la table qu’elle y plante et casse ses ongles. Après une ultime et tétanique convulsion, elle se détend brusquement, écoulant de chaudes humeurs, agitant ses longues jambes et ...
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