Tendresses et surprises océanes
Datte: 14/11/2018,
Catégories:
fh,
voisins,
vacances,
bain,
Oral
69,
pénétratio,
occasion,
... déshabille, frissonne sous le vent glacial balayant la plaine atlantique, me couche sur le lapilli tentant d’extraire de ce triste minéral les tiédeurs que me refuse un corps aimant. Moult fois j’entends un bruit de pas derrière moi et fouille, à l’aide de ma torche, les ténèbres qui me renvoient à mon désappointement. J’entame aujourd’hui mon dernier jour sur l’île, plein d’amertume et de ressentiment. Je voulais grimper ce matin sur la caldera Blanca, toutefois mon asthénie m’en dissuade. Vers onze heures, je perçois enfin du mouvement chez mes voisines. Je ne peux pourtant pas les envahir dès qu’elles remuent un orteil. Je parviens assez vite à les saluer, mais elles me font comprendre que d’autres urgences les empêchent de se perdre en bavardage dès à présent. Je ronge donc mon frein tout en me disant que l’idéal serait que la maman s’absente seule. La ferveur de mes prières me vaut d’être exaucé, car, effectivement, vers quatorze heures, je vois Vicenta s’éloigner. Aussitôt, je me précipite chez elles où Maria m’accueille un brin effarée, vêtue seulement d’un long déshabillé blanc qui, dans la pénombre du salon, met en valeur son teint cuivré. Je me jette sur elle, l’enserre et réclame sa bouche que la coquine me dérobe d’abord, avant de me l’abandonner timidement. Quand je m’introduis sous le tissu dans l’intention de pétrir ses fesses, elle m’oppose une assez vive résistance, qui me déconcerte au vu du souvenir de nos emportements de l’autre nuit. La belle se cabre, ...
... faisant semblant de se refuser et agrippe fermement ma main qu’elle repousse. La clarté du jour rend ma nymphe nocturne rétive et, mal à l’aise, elle tend à se réfugier derrière d’incompréhensibles minauderies. Je butine enfin fougueusement ses lèvres et elle ne réplique d’abord que fort peureusement, puis, lentement, tout en roulant de grands yeux affolés, daigne riposter avec une ardeur qui va croissant. Je m’égare ensuite dans son cou et descends dans le triangle de peau nue qu’encadre moelleusement le col du peignoir qu’elle me défend d’ouvrir davantage et maintient solidement fermé. Je décide de lui répondre sur le même ton et à mon tour, feins la lassitude et fais mine de renoncer. Elle hésite, et se résigne à me retenir craintivement par la manche de ma chemise. Toutes ces feintes rebuffades, ce pugilat simulé et dépourvu de toute brutalité, m’attisent singulièrement et je suis tout prêt à l’amuser de cette manière. À nouveau, je me faufile sous son vêtement et encore, elle tente de se soustraire. D’un bras, je l’attire et l’écrase alors contre mon torse immobilisant les siens tandis que l’autre repart en exploration sous ses voiles. Après une hélas trop brève résistance, affichant un air consterné, elle s’avoue vaincue et bientôt je promène des phalanges chafouines sur le coton innocent de sa petite culotte, avant de les y introduire. Toute cette séquence s’est déroulée dans un silence parfait que n’ont troublé que quelques geignements témoignant des efforts de Maria ...