1. Loyers en retard, notre propriétaire en profite


    Datte: 16/11/2018, Catégories: fh, hagé, cocus, cocucont,

    ... un dernier regard, un grand sourire, et s’assit carrément sur les cuisses de notre hôte. J’imaginais la verge en train de glisser dans son fourreau intime. Elle ferma les yeux en sentant le membre prendre possession de sa chatte. — Ouiiiii, ouiiiiiiii… Je te sens bien dans ma chatte, espèce de salaud. Tu aimes ça, hein ? C’est ça que tu voulais ?— Ah, putain, que t’es bonne… Oui, t’es trop bonne ! Je vais jouir dans ta chatte, petite catin.— Ouais, vas-y, remplis-moi, donne-moi tout ton jus… J’ai envie de te sentir me gicler dans la chatte ! Le vieil homme accéléra ses coups de reins, mais avant qu’il n’arrive au point de non-retour, elle se retira une nouvelle fois et s’allongea sur le lit en écartant ses cuisses dans une invitation sans équivoque. J’étais idéalement placé car d’où j’étais, je pouvais voir sa chatte presque en gros plan, ouverte, luisante de mouille, les lèvres gonflées de désir. Monsieur Georges la rejoignit sur le lit, se mit à genoux entre ses jambes, et sans attendre posa son énorme gland dans le trou tout béant. Il s’allongea alors sur elle en la pénétrant doucement tout en soulevant ses jambes pour les replier sur sa poitrine. Elle était écrasée sous le poids du vieillard, mais elle l’encourageait à la prendre plus fort en lui assurant qu’elle aimait sa grosse queue toute raide. Je regardais, fasciné, la verge plonger entre les lèvres gonflées de désir, sortir presque entièrement avant de replonger encore plus fort entre les chairs roses, le gros ...
    ... ventre sur le corps fragile, les grosses fesses qui s’agitent à chaque coup de reins. C’en était trop, beaucoup trop. Je ne contrôlais plus rien. Ma sève montait inexorablement le long de ma tige. J’explosai en plantant mes dents dans l’une de mes paumes pour étouffer le long gémissement qui s’échappa de ma gorge. Le vieux Georges continua de la pilonner un long moment, réussissant à la faire jouir encore une fois, puis se raidit en criant que c’était trop, qu’il était en train de se vider dans sa chatte. Elle le laissa faire, accueillant sans broncher tout son foutre dans son ventre. Ils restèrent un long moment soudés l’un à l’autre, puis monsieur Georges se retira doucement. Je regardais fasciné son sexe sortir du fourreau d’où s’échappait déjà une épaisse coulée de sperme. C’était incroyablement obscène, et pourtant j’étais subjugué par ce spectacle qui s’offrait à mes yeux. Jamais je n’aurais imaginé qu’un jour j’aurais vu Charlie se donner devant moi à un autre mâle, recevoir sa semence, recevoir sa semence et en jouir. Ça ne pouvait pas être vrai. Je devais certainement être dans un rêve, et pourtant tout cela me semblait tellement vrai… Monsieur Georges n’était pas homme à perdre du temps. Il se rhabilla rapidement en remerciant Charlie pour ce qu’elle venait de lui accorder, ajoutant qu’elle n’aurait plus jamais aucun souci à se faire pour le paiement du loyer si à chaque fois qu’il venait, il pourrait la baiser comme cela venait de se produire. Charlie lui sourit en lui ...
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