1. L'histoire de Géraldine


    Datte: 17/11/2018, Catégories: f, ff, copains, gros(ses), grosseins, telnet, volupté, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral

    ... qu’il m’est impossible de venir aujourd’hui !… Tu crois que je n’en ai pas envie, de te voir ?… Écoute, j’en CREVE de devoir attendre trois jours, d’accord ?… Alors, arrête de me torturer, s’il te plaît… Un silence m’a répondu, et moi, pendant ce temps, je me demandais : "qui est Chantal ?" et "comment la conversation a-t-elle pu déraper à ce point ?" En fait, elle allait m’en parler, pour la première fois, au cours de notre bain. — Géraldine, je vais te laisser, maintenant. Je te promets que je t’appellerai tout les jours jusqu’à notre rendez-vous et tu me diras si tu tiens toujours à me voir, d’accord ?… Une voix blanche m’a répondu : — D’accord…— Au revoir…— Au revoir. À environ deux heures du matin, cette nuit-là, le téléphone a sonné. Quelqu’un pleurait de l’autre côté de la ligne. Alors, je lui ai chanté une berceuse, mais pas la même que la nuit précédente. J’ai commencé par la calmer, avec tous les mots doux que je connaissais, et quand les pleurs ont cessé, j’ai orienté la conversation vers ce dont elle avait besoin. Je lui ai raconté des cochonneries qui l’ont d’abord outrée? puis qui l’ont poussée à calmer l’incendie que j’avais allumé plusieurs fois de suite. Et c’est elle qui a chanté pour moi, cette nuit-là. Jeudi, à la fin de notre conversation, je lui ai dit : — Je t’appellerai demain, aux alentours de midi, tu me diras si tu es toujours d’accord, et on mettra quelques détails en place.— D’accord.— Tu peux m’appeler cette nuit, ...
    ... si tu le veux, mais je crois vraiment qu’il nous faut réfléchir, donc appelle-moi, mais seulement si ça va trop mal. Elle m’a appelé, mais aux alentours de dix heures, pour me dire : — J’aimerais chanter pour toi. Pour la taquiner, j’ai répondu : — Comme dans la nuit de mardi ?— Pffhahaha !… non… Hihi… comme tu as chanté pour moi, imbécile !— Méchante !… bon, d’accord, mais laisse-moi me coucher, d’abord. Quand j’ai été bordé dans mon lit, je lui ai dit : — Attends, je me mets en condition. Voilà, mes yeux sont fermés… je calme mon souffle, puis je te vois avancer vers moi. Je te vois me sourire et j’aime ton visage, alors je t’ouvre ma porte et t’entraîne dans ma chambre… laisse-moi le temps de ressentir ta présence…— …— Maintenant, tu peux chanter… Pour ceux que ça intéresse, sachez qu’aucun des hommes sortis avec elle de la banque, n’a survécu. Quand les policiers ont vu Géraldine s’écrouler, l’un d’eux a tenté de blesser Jean pour qu’il s’allonge aussi. Manque de chance, la balle a sectionné l’artère fémorale, juste au-dessous du pli de l’aine. Il est tombé quand même, et un déluge de balles de tous calibres s’est abattu sur les gangsters. Il n’y avait plus aucune balle dans aucun chargeur, et le temps que l’on secourt les blessés, Jean avait déjà perdu beaucoup trop de sang. Il est mort dans l’ambulance. Il ne me reste plus qu’à vous raconter notre conversation de vendredi midi… et à finir notre week-end. Encore un peu de patience… Fred. 
«12...78910»