1. L'histoire de Géraldine


    Datte: 17/11/2018, Catégories: f, ff, copains, gros(ses), grosseins, telnet, volupté, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral

    ... était l’instigateur de la pension, du grand appartement, offert lui aussi… et de l’ordre de répliquer en cas d’agression de la part des gangsters. Chantal est devenue son amie. La seule qu’elle aura jamais… jusqu’à ce qu’un jeune homme réponde à son annonce. Un jour où elles étaient toutes les deux en train de déjeuner, dans son grand appartement, l’ex-infirmière a entendu : — Passe-moi le sel, Chantal, s’il te plaît… Elle ne lui a pas passé, cette fois-là ; elle lui a sauté dessus, littéralement. Elles ont terminé le repas, allongées par terre, mortes de rire, la chaise de Géraldine renversée. Chantal lui couvrait le visage de bises, folle de joie, pleurant et riant à gorge déployée, tour à tour. Une hystérie communicative puisque Géraldine pleurait et riait avec elle. Il avait fallu plus de huit années de sollicitudes en tout genre, de patience, d’amitié inconditionnelle de la part de Chantal, pour voir enfin son amie sortir de son mutisme. Elle entendait les mots danser, dans sa tête, des mots d’une banalité tellement… banale, que le rire repartait de plus belle. Ni l’une ni l’autre ne sentait leurs lèvres s’écraser parfois, emportées par leur folie, qu’elles étaient. Elles ont passé le reste de la nuit à parler, et Géraldine voyait son amie plus heureuse qu’elle ne l’avait jamais vue. Épuisées, l’une comme l’autre, elles ont fini par aller se coucher, aux premières lueurs de l’aube, chacune de leur côté : elle dans son grand lit et Chantal dans la chambre d’ami. À son ...
    ... réveil, quelques heures plus tard, elle se sentait bien. Mieux qu’elle ne l’avait été depuis bien longtemps. Elle s’est levée pour préparer un petit-déjeuner pour deux, puis un nuage l’a portée jusqu’à la chambre de Chantal. Le soleil tentait de percer les volets fermés, baignant ainsi la chambre de lueurs tamisées. La lumière effleurait le visage de son invitée, le baignant d’un halo de douceur. Elle avait les yeux ouverts et a tourné la tête dans sa direction à son entrée. Géraldine lui a dit simplement : — Bonjour, ça va ?… Puis elle est allée s’asseoir à côté d’elle et lui a pris la main. Chantal souriait et ses yeux étaient un peu humides. L’aréole de son sein gauche dépassait un peu de l’échancrure de la nuisette qu’elle avait revêtue pour dormir. Normal : c’était elle qui la lui avait prêtée. Géraldine était quand même un peu plus "enveloppée" qu’elle, surtout de la poitrine. — Viens… J’ai préparé un p’tit-déj. pour deux. Elles se sont rendues à la cuisine main dans la main, puis ont grignoté plus que réellement mangé. Chantal allait se lever quand son amie l’a devancée. Elle l’a regardée en lui souriant et l’a aidée à se lever, en prenant délicatement sa main, et l’a entraînée vers le salon. Elles se sont assises, l’une à côté de l’autre, dans le canapé. Chantal voyait de la peur dans les yeux qui ne la quittaient pas. Et elle comprit. Elle fit ce qu’elle avait envie de faire depuis que l’ange était entré dans sa chambre : elle prit sa bouche de la sienne, avec la plus ...
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