L'histoire de Géraldine
Datte: 17/11/2018,
Catégories:
f,
ff,
copains,
gros(ses),
grosseins,
telnet,
volupté,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
... grande délicatesse, reproduisant ce qu’elle se rappelait avoir senti la veille au soir. C’était juste des bises qui traduisaient toute la tendresse qu’elles ressentaient l’une pour l’autre. Une sorte de murmure, qui ressemblait à un gémissement, sortit d’entre les lèvres de Géraldine, et l’instant d’après, elle guida la main de Chantal pour la poser sur son ventre, légèrement au-dessus de son mont de Vénus, par-dessus sa nuisette. Un sanglot, en même temps qu’une prière, jaillit de sa bouche : — Je t’en prie, Chantal… Je t… t’en prie… Chantal avait peur. Elle sentait qu’il y avait plus qu’une attente réellement sexuelle, dans la demande de son amie. Elle savait que celle-ci avait autrement plus peur qu’elle-même. L’envie la poussa à chercher sa langue et son baiser devint l’essence même du baiser. Il était tout l’amour qu’elle pouvait ressentir pour Géraldine, et des gémissements vinrent chatouiller ses tympans, affirmant que l’initiative était ce que son amie voulait. Mais, elle se mit à pleurer. — Mon ange, dis-moi ce qui ne va pas…— J’ai p… peur, Chantal !…— Je sais, ma chérie… Elle sentit son amie l’étreindre furieusement et la secouer de sanglot. Elle pleurait comme un petit enfant. — Je sais de quoi tu as peur !… Tu crains de ne pouvoir éprouver de plaisir… Elle passa sa main sous la nuisette et chercha son clitoris, fit aller et venir son doigt, en une caresse très légère. Ses doigts parcoururent la fente close sur toute sa longueur. Elle sentait les petites lèvres ...
... affleurer à l’orée de l’entaille. Son sexe était sec. Elle dit, simplement : — Viens… Allons dans ta chambre. Elle l’aida à se lever et l’y conduisit. Puis elle la fit asseoir sur le lit, lui caressa le visage des deux mains, et lui retira lentement sa nuisette. Puis elle laissa son corps, encore revêtu de satin, caresser le satin de la peau blanche, tandis que ses lèvres goûtaient, à nouveau, le fruit qu’elle chérissait. La langue de son amie joua avec la sienne, participant au baiser, l’encourageant. Chantal poussa avec ses seules lèvres pour allonger Géraldine. Leurs bouches se quittèrent et elle la suivit quand son corps rampa pour s’enfoncer plus profondément dans le lit. Leurs yeux ne se quittaient pas. Elle ne pleurait plus et son regard montrait un mélange d’attente, d’espoir, de bonheur et… d’amour. Un long frisson la parcourut quand elle sentit deux mains remonter sa nuisette, en caressant ses fesses, d’abord, puis le bas de son dos. Elle l’aida, en décollant légèrement son corps, et Géraldine remonta encore, en une caresse fébrile et impatiente, jusqu’à ce que la nuisette ne soit plus un obstacle au contact de leurs deux corps. Nulle acrobatie ne vint égayer leurs ébats ce jour-là, mais Chantal sut trouver les gestes qui amenèrent Géraldine à une extase qui les libéra toutes deux. Elle avait calqué les caresses qu’elle utilisait sur elle-même, parfois. Des larmes coulaient sur les joues de Géraldine, et ce n’était plus celle de la peur, mais de la reconnaissance, du ...