Objet sexuel pour femme dominante
Datte: 23/11/2018,
Catégories:
fh,
fagée,
poilu(e)s,
hsoumis,
fdomine,
chantage,
cérébral,
odeurs,
BDSM / Fétichisme
pied,
Masturbation
Oral
nopéné,
sm,
gifle,
init,
fplusag,
hsoumisaf,
... du lit. Maîtresse Liz poursuivit sa séance de dressage de celui qui était appelé à devenir le serviteur de son intimité : — Maintenant, il te reste à faire le plus important à mes yeux, ce que l’on appelle la toilette intime d’une dame. Tu vas me donner mon injection. Il faut que je t’explique que les dames ont souvent des pertes et des écoulements, tu le sais d’ailleurs puisque tu as aimé mettre ton nez et les sucer au fond de ma culotte déjà à plusieurs reprises. Tu comprends ce que j’exige maintenant de toi, mon petit ? Je fis un oui très timide de la tête, en recommençant à rougir. — N’oublie pas que tu dois être très obéissant, sinon je dis tout à ta tante ! Aujourd’hui, je te montre comment faire, mais je ne le répéterai pas, demain tu devras me servir sans que j’aie à te montrer à nouveau. Et gare à toi, si tu ne fais pas bien ton service ! Elle me montra alors comment préparer l’injection avec les ingrédients qu’elle me désigna, puis elle me montra avec beaucoup de précisions comment introduire la canule dans son vagin au-dessus de la cuvette. — Tu vois, petit chéri ? Maintenant, avec un tampon d’ouate, lave très doucement toute cette partie-là, dans les poils, sois très doux, tu pourrais me faire mal, tu sais ! Quand j’eus fini, elle me dit en souriant : — Oh ! Si tu as soif… Tu peux !… Bien que toujours intimidé, je me pris à sourire, comme devant une plaisanterie saugrenue. Mais mon sourire se figea lorsque Maîtresse Liz s’exclama : — Ah ! Tu sais, moi j’ai le ...
... droit de rire, toi tu n’as que celui d’obéir comme un petit morveux qui doit subir sa punition. Quand je parle ainsi, c’est une volonté que j’exprime. Je veux que tu boives une gorgée de cette eau qui a passé dans moi. Je découvrais à cet instant que j’étais tombé entre les mains d’une véritable dominatrice, qui prenait plaisir à exercer son pouvoir sur moi. Cela faisait longtemps déjà qu’elle ne pouvait plus dominer son entourage au travail, et c’est moi, petit puceau sans défense, qui était entre ses mains… Me résignant à subir une fois de plus sa loi, je me baissai et m’approchai du bord de la cuvette où, accroupie, ma Maîtresse m’avait laissé un petit espace entre ses grosses cuisses pour y placer ma bouche, et boire, les lèvres collées à sa vulve, ce qui s’écoulait du fond de son vagin. Les poils de sa vulve me mouillaient le visage. L’opération dura un moment, car manifestement elle prenait plaisir à me rendre cette tâche difficile, et à me sentir encore plus humilié en tant que cuvette de ses eaux les plus intimes. Je dus en boire une partie, le reste s’écoulant de ma bouche dans la cuvette. Elle se releva enfin et s’allongea sur son lit, me faisant signe de venir : — Prends un tampon d’ouate sèche, et essuie bien partout et doucement. Tu es très ému par tout ce que je te fais faire, je le sais et j’en suis très heureuse, mais tâche de bien faire. Regarde bien mon sexe de femme, petit garçon, car tu sais, c’est lui ton véritable maître. À cause de tes agissements ...