1. La place rouge était vide


    Datte: 27/11/2018, Catégories: fh, ff, hplusag, extraoffre, cocus, vacances, danser, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, confession,

    ... explorés par des paumes moites. Je gronde lorsque mes tétons sont effleurés alors que le tissu est repoussé. C’est la femme qui me caresse la poitrine. Mais c’est l’homme qui tire la robe vers le bas. J’abandonne un instant la ceinture pour que le tissu passe le barrage de mes bras. Comment ai-je fait pour en arriver là ?Me voici nue, devant eux. Tous deux sont face à moi, nus aussi. Je n’ose baisser les yeux. Je suis fascinée par leur regard. Je dois être hypnotisée ou droguée pour ne pas réagir.Pourtant, c’est bien moi qui ai tiré sur le pantalon, puis le slip de l’homme, impatiente de découvrir sa verge. Une verge magnifique que j’ai caressée à travers le tissu, mais qui soudain me sidère.C’est lui qui a tiré ma robe. C’est elle qui a quasiment arraché la petite culotte, impatiente sans doute de découvrir la chatte ombragée que son mari lui a décrite. Il est trop tard. C’est comme cela que, pas à pas, sans vraiment réfléchir, juste un mouvement en entraînant un autre, une curiosité en appelant une autre, je me retrouve avec ce couple. Pourtant il me suffirait de faire un pas. Un pas d’évitement en avant ou un pas en arrière. Oui, un pas, un seul et je sais qu’ils comprendraient. Une jeune femme. Une jeune mariée. Ils ne doivent pas. Ils ne peuvent pas. Pervertir cette jeunesse. Jouer avec ma sensibilité. Mais dans leur regard, j’y vois aussi le poids de l’expérience, le goût du plaisir, l’envie de partager, de donner, de recevoir, d’éduquer. — Suce-le. C’est un ordre. La ...
    ... voix est ferme, mais douce. Anne, elle, a fait ce pas, que je n’ai pas fait. Le pas qui lui permet de poser sa main sur ma tête. Le pas qui lui permet de renforcer son ordre. Toute ma vie, les adultes m’ont donné des ordres. C’est en me mariant que je pensais ne plus le revivre. Mais il y a « ordre » et « ordre ». En appuyant sur ma tête, j’ai quitté leurs regards pour découvrir la verge de l’homme. A-t-il fait lui-même un mouvement ? Je ne sais, mais je me retrouve devant lui, à genoux, prêtresse de ce sexe qui hante mes pensées depuis ce matin. Il est juste devant moi, devant mon visage. J’en découvre la forme parfaite, belle, longue, grosse, juste travaillée par des vaisseaux nourriciers. Et ce gland, chapeau d’un champignon qui bat tous les records de croissance, sa couronne, son sillon et cette tige qui paraît dure, mais vivante, excroissance gigantesque qui semble jaillir de deux bourses. Le rose du gland est délicat, la peau dorée donne une impression de fragilité. Une main manucurée avec des ongles rouges vifs s’en empare. En réalité elle dégage la queue du ventre contre lequel elle semble se rassurer. — Suce. La pression sur ma tête est plus forte. Elle est la bienvenue. Ainsi ce n’est pas moi qui suis cochonne. Fille perdue qui va faire une « fellation », mot et pratique honteuse pour les bigots et encore on ne parle pas d’une « fellation » en dehors du mariage. Moi, on me force à le faire. Pression physique, même si elle n’est pas violente. Pression psychologique ...
«12...111213...»