1. La place rouge était vide


    Datte: 27/11/2018, Catégories: fh, ff, hplusag, extraoffre, cocus, vacances, danser, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, confession,

    ... d’un couple d’adultes sur une frêle jeune femme à peine dégourdie par le mariage. Si mes lèvres s’ouvrent. Si ma langue avance. Si je me penche un peu. Si je garde les yeux ouverts. Ce n’est pas moi. C’est une autre. Jeune mariée qu’un mari ivrogne abandonne à d’autres. C’est lui le coupable. Nathalie, elle, on lui a enseigné le respect. Le respect de Dieu, des préceptes. Respect aussi à son mari. Respect de l’homme. Et l’homme c’est aussi… ça. Je ne fais qu’obéir. C’est chaud. Brûlant. Humide. La fameuse petite perle qui suinte est comme l’annonce de l’étoile à Marie. Ma langue la déguste. Mes lèvres se referment sur le mandrin. La peau est délicate. C’est bon. Même cette odeur de transpiration est bienvenue. La main me cède la place. La bite ne risque plus d’aller se plaquer contre le ventre. Elle est dans ma bouche. Mes lèvres en font une gourmandise. Ma langue la déguste. Ma salive la nappe. J’aime sucer. Chut, il ne faut qu’on le sache, ce n’est pas bien. Mais mon amant, mon initiateur m’a enseigné combien les hommes aiment cela. Certaines femmes, d’après ouï-dire, n’apprécient pas. Elles trouvent cela dégradant. Quelles connes ! Ce sont les mêmes qui mangent les asperges avec une fourchette et un couteau ou qui n’osent pas manger une banane en en fourrant un gros morceau dans la bouche de peur de paraître vulgaires. Les couilles sont toutes de douceur sous mes mains. Les fesses dont je sens le duvet sont fermes. Et je suce comme il m’a appris. Je suce, je lèche, je ...
    ... pompe. J’alterne les léchages de bite, du gland jusqu’aux couilles. Les couilles lisses dont je gobe chacune des boules avant de remonter. Et puis je le pompe. Mes lèvres forment un sphincter qui s’adapte parfaitement à la forme qu’elles enveloppent. D’abord en forme de « Oh », de ce petit « Oh » précieux d’un étonnement de bourgeoise. Un « Oh » qui enveloppe le début du gland. Un « Oh » qui s’agrandit pour en suivre la forme élargie. Ensuite c’est un « Ah ». Je passe la couronne avec le sillon dégagé et légèrement odorant pour attaquer la tige. La peau est si tendue que les veines semblent prêtes à éclater, mais je sais qu’elles sont la source de vie. Commence alors la lente descente. Les bourgeoises que l’on force diraient « descente aux enfers », moi c’est « descente au paradis ». Chaque fois je m’en approche un peu plus, gagnant un ou deux millimètres supplémentaires, alors que le gland heurte le fond de ma gorge. Et puis je remonte. Et puis je redescends. — Elle se débrouille bien. Hein chéri ? Visage d’ange, mais bouche de salope. La femme commente. C’est vicieux, pervers. Elle me fait sucer son mari. Et lui, lui… lui, respire fort. Lui gronde. Son ventre résonne de ce bruit de gorge qui est un compliment. — Allons dans la chambre. Ce sera plus confortable. On m’encourage à me lever. Anne me prend la main. Je la suis. Quelques mètres et nous passons devant la pièce où mon mari dort. S’il savait ce qu’on fait faire à son épouse. Même dans ses pires cauchemars il ne doit pas ...