1. La place rouge était vide


    Datte: 27/11/2018, Catégories: fh, ff, hplusag, extraoffre, cocus, vacances, danser, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, confession,

    ... en érection. Ma première possession. Ma première fellation. Son premier cunnilingus où j’ai hurlé mon plaisir. Mais aussi, je me souviens que chaque pièce de la maison et même le jardin ont été des lieux pour notre plaisir. Je ne savais pas qu’il était possible qu’un homme possède une femme dans tant de situations. Il vouait une admiration sans limites à ma poitrine, mes seins généreux avec des aréoles très marquées et des tétons que je savais déjà si sensibles par mes caresses solitaires. Combien de fois est-il venu se « terminer » dans la vallée que ses mains construisaient en plaquant mes deux lobes l’un contre l’autre. La capote arrachée, il se glissait dans ce sillon improvisé et gluant par sa salive. Sa queue crachait alors une liqueur qui m’éclaboussait jusqu’au visage. Une liqueur qu’il me donnait parfois à goûter. Alors, vous comprendrez que l’arrivée de sa femme a été une catastrophe bien que nous ayons tout de même pu nous retrouver en cachette pour des parties de baise qui m’ont fait découvrir l’infinie diversité des situations. La levrette dans une voiture, heureusement assez spacieuse. La dangerosité de pomper son amant alors qu’il conduit. La jouissance sauvage d’être possédée avec violence par un homme volontaire, appuyée contre un arbre alors qu’à quelques mètres, les voitures passaient leur chemin. C’est à ce moment-là que j’ai réalisé que je ne pouvais plus redevenir la fille sage du pasteur. Une seule solution, partir, ou bien… ou bien… Jean. Oui la ...
    ... solution s’appelait Jean. Un ami d’enfance. Mon premier flirt. Oh un flirt bien sage, mais des baisers et des contacts qui déjà me troublaient. Il avait – il a – deux années de plus que moi. Mais une réputation de garçon sérieux, impliqué dans ses études, auquel on ne connaissait pas de liaison affichée. Le gendre idéal. Il avait presque la confiance de mes parents. Alors j’en ai profité. Je l’ai séduit. Oui, je peux le dire, c’est moi qui ai fait les premiers pas. Il m’a fallu une année. Petit à petit, notre liaison a pris un aspect officiel. Nous nous sommes mariés en juillet de mes dix-neuf ans. Enfin la liberté. La vraie. Avec Jean qui allait intégrer une école de l’administration avec le salaire associé en échange d’un engagement dans la fonction publique, j’allais enfin être maîtresse de mon destin. Pour notre voyage de noces, par souci d’économies, nous partons camper en Charente-Maritime. Tout est parfait. Le soleil, la mer, mais surtout la liberté. Vivre. Tout est nouveau pour moi. Sauter un repas. Boire de l’alcool. Me lever bien après l’aurore. Aller sur la plage. Découvrir ces hommes dont les maillots de bain minimalistes moulent outrageusement leur verge et leurs bourses. Découvrir ces femmes, la poitrine à peine cachée et un bas réduit au strict minimum. J’en profite pour échanger mon maillot une-pièce pour un deux-pièces qui me vaut bien des regards en particulier sur ma poitrine avantageuse. Un seul regret. Alors que je comptais sur l’ambiance pour que Jean soit ...
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