La place rouge était vide
Datte: 27/11/2018,
Catégories:
fh,
ff,
hplusag,
extraoffre,
cocus,
vacances,
danser,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
... redoutable, je sens sa paume s’attarder sur chacun de mes tétons. C’est délicieux. — De ces hommes dont vous deviez sentir la virilité, comme celle que vous sentez là… Son ventre est tout contre le mien. Je ne peux ignorer la bosse que mon pubis découvre. Cette bosse je sais depuis ce matin à quoi elle correspond vraiment. Ce sexe rigide, si long, si fort, si beau… — Oui, mon sexe. Mon sexe durci par votre contact, comme ce matin il a été durci uniquement par votre vision. Touchez, oui, touchez ! Il se saisit de ma main et la dirige vers son ventre. Je résiste. — Non, non… Mon cerveau est embrumé, mais mes sens sont aiguisés. Il a raison, j’ai joué avec le feu. J’ai joué avec ces hommes. L’alcool, l’ambiance, le souvenir de ce matin, des corps nus à la piscine, et surtout personne pour me juger. Même Jean qui n’aime pas danser, semblait me dire par son indifférence : « Chérie, amuse-toi. Profite de ta liberté. Danse. » Mais est-ce ma faute, si cette robe est un peu trop ajustée sur moi ? Est-ce ma faute si mes épaules dénudées attirent le regard et même la main de mes cavaliers ? Est-ce ma faute si ma poitrine apparaît en filigrane sous le tissu léger ? Que le tissu tendu sur mes hanches et mes fesses souligne la trace de la petite culotte qu’Anne m’a gentiment proposée ? Que la robe à tendance à remonter lorsque je lève les bras ?Mais surtout est-ce ma faute si cet homme qui me parle ainsi, s’est montré nu devant moi, m’a montré sa verge en érection, m’a attirée en voyeuse ...
... aux portes de sa chambre alors qu’il baisait sa femme tout en ne parlant que de moi ? Est-ce ma faute si la vision de leurs ébats et de leur liberté de paroles m’a fait prendre conscience qu’il existait bien d’autres horizons ? Est-ce ma faute si, en une seule journée, mon pauvre cerveau s’est senti submergé par tout cela et que la Nathalie, digne fille d’un père pasteur, a fini par dessiller ses yeux ? — Non ! Non ! Anne nous regarde. En une microseconde, je réalise que l’excuse que je donne de mon refus, est en réalité un accord. C’est dingue comme ce « Anne nous regarde » peut sous-entendre. « Ce n’est pas que je n’ai pas envie de caresser votre verge tendue, non, au contraire, mais je ne peux pas car votre femme nous regarde. Si elle n’était pas là… alors je le ferais ». — Oui, je suis là, dit soudain une voix à mon oreille. Une voix devenue familière. Je sens sa présence derrière moi, et puis son corps qui s’appuie contre le mien, sa main qui remplace celle de son mari et qui me guide vers ce ventre ou… — Touche. Oui, touche sa queue tendue grâce à toi. Ma main est guidée par une autre. La bosse est bien là. On me guide pour en faire le tour. On me susurre à l’oreille. — Ouvre son pantalon. Déjà mon autre main est envoyée en renfort. Je trouve la ceinture. Je tire pour en dégager la boucle. Je sens que pendant ce temps la fermeture Éclair dans mon dos descend. Et puis deux mains qui se glissent entre tissu et peau atteignent mes seins. Je gémis lorsque mes deux lobes sont ...