1. La place rouge était vide


    Datte: 27/11/2018, Catégories: fh, ff, hplusag, extraoffre, cocus, vacances, danser, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, confession,

    ... plus « demandeur » de sexe avec moi, son flegme perdure. C’est presque toujours moi qui dois minauder et envoyer des signaux plus ou moins prononcés pour que nous nous retrouvions au lit. Pourtant, sur la plage, je l’ai déjà surpris le regard dirigé vers les autres et une fois même je crois avoir deviné une érection, vite cachée par un retournement sur le ventre. Mais impossible de voir quel est son type. Une jeune mariée ne doit pas poser ce genre de questions. Non ! Le quatrième jour de notre lune de miel, nous sommes sur la plage et rapidement le ciel s’obscurcit. Il pleut et un vent désagréable nous chasse. C’est déjà sur le chemin du retour que les sirènes des pompiers, ambulances, police, nous inquiètent. Et il y a de quoi ! Notre camping a été dévasté par une mini tornade. Plus rien debout. Que de la boue, des arbres arrachés, des lambeaux. Mais comme la plupart des gens étaient à la plage, pas de blessés. Nous avons tout perdu. Sauf la vie… sauf la voiture de Jean… sauf nos papiers, dans la boîte à gants… sauf nos maillots de bains, les serviettes et ce que nous portons sur nous. Le lieu est sécurisé. Impossible d’y pénétrer. Pendant les heures qui suivent, la municipalité et divers organismes nous prennent en charge. Hôtels et résidences sont réquisitionnés. Un couple, volontaire, nous propose de nous héberger le temps de voir venir. Nous les suivons. Bien que rien de vraiment grave ne nous soit arrivé, Jean et moi sommes un peu sonnés. Dans un rêve, nos hôtes, un ...
    ... couple de l’âge de nos parents, nous font visiter leur maison un peu en dehors du village. La chambre qu’ils nous proposent est, comme la leur, donnant sur la piscine. C’est celle de leur fils. La soirée passe vite et bien que nos hôtes soient « aux petits soins » pour nous, nous partons nous coucher assez tôt. Jean s’endort très vite. Moi, non. Je tourne, je vire, j’ai trop chaud. Malgré le gros orage, la chambre est une étuve. J’ouvre la porte-fenêtre. J’ai dû réussir à dormir un peu, car lorsque j’ouvre les yeux, je devine que l’aube arrive. Je suis en sueur, bien que je ne porte rien, ni chemise de nuit ni drap. Surtout pas de chemise de nuit, car depuis mon mariage j’ai jeté ce vêtement, véritable rappel à mes parents et de leur éducation, aux ordures. Dormir nue est une forme de liberté enfin accordée. Je me lève. Je sors. Juste devant la porte-fenêtre, un transat me tend les bras. Je m’y allonge. Le bois légèrement humide est d’une fraîcheur divine. Je revis. Le soleil qui se lève derrière la maison laisse encore la piscine dans l’ombre. Je suis bien. Enfin je respire. Les tensions de la nuit, les contrariétés de la veille s’envolent. Les oiseaux chantent. Mais j’entends aussi un ronflement. Ce n’est pas mon mari. J’imagine que c’est notre hôte, Franck. Leur chambre est juste à côté, juste séparée par une salle de bain, mais comme ils doivent avoir laissé, eux aussi, la fenêtre ouverte, le son porte jusqu’à moi. J’ai dû somnoler un peu, car lorsque j’ouvre les yeux, le ...
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