1. La place rouge était vide


    Datte: 27/11/2018, Catégories: fh, ff, hplusag, extraoffre, cocus, vacances, danser, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, confession,

    ... aux bords de ma bouche. J’étouffe alors encore plus, mais je ne suis plus moi-même. Je suis fière de l’accueillir ainsi. Manifestement cette position facilite la possession. J’ai entendu parler d’un film américain qui circulait sur le sujet. « Gorge profonde », je crois. — Crache dans sa bouche. Je suis sûre que ce sera sa première fois. Quoiqu’avec elle on peut s’attendre à tout. Son mari en avait peut-être envie. S’il la voyait, que penserait-il ? Voir sa jeune femme ainsi. Mais après tout il est fautif. Peut-être même qu’il apprécierait. Certains hommes aiment voir leur femme se faire baiser devant eux. Cela les excite. Ils bandent à ce spectacle. « Non, non. Pas cela ». Je hurle silencieusement. C’est sale. Pas dans ma bouche. Même mon amant ne l’a jamais fait. Il me prévenait et lorsque je le pompais, j’avais le temps de me retirer. Il arrosait mes seins. Plus d’une fois, il m’avait fait goûter dans un geste délicat une goutte ramassée par un doigt, mais jamais plus. Non ! Mais Franck n’entend pas. Il vient aussitôt comme s’il attendait la suggestion de sa femme. Manifestement ils ont une complicité parfaite dans ces jeux du sexe. C’est chaud. Heureusement qu’il s’est retiré un peu, ne laissant qu’une partie de sa bite dans ma bouche. Déjà le jet est violent. D’autres suivent. Le sperme se mélange avec ma salive. Franck ...
    ... reste de longues secondes ainsi. Et puis il se retire. Je suis anéantie. Anéantie par la jouissance que m’a apportée la femme. Anéantie par la violence de la fellation forcée, de ce viol de ma gorge, de l’étrange plaisir de me sentir esclave sexuelle de ce couple. Franck s’est déplacé. Mon regard est encore trouble, mais le miroir, celui qui m’avait fourni la vision de cette chambre il y a presque 24 h, le miroir me renvoie mon image. Il me faut quelques secondes pour réaliser que c’est bien moi. Moi, le visage souillé où le rimmel qui a coulé fait d’étranges coulures qui accentuent celles de la salive, mais aussi de foutre qui suinte de mes lèvres. Ce foutre que j’ai toujours en bouche. Mais je ne suis pas seule dans ce miroir. Franck et Anne y sont aussi. Ce couple qui vient de me pervertir. Ce couple qui regarde de l’autre côté. Vers la fenêtre. Comme si… oui une silhouette. C’est vers elle que leurs regards se dirigent. Cette silhouette, c’est Jean. Mon Dieu, Jean, mon mari ! Mais je pensais qu’il dormait, assommé par l’alcool. Et il est là. Immobile. Depuis combien de temps ? Le couple savait-il qu’il nous regardait ou bien il vient seulement d’arriver ? Mais quelle importance ? La façon dont je suis couchée. Mon visage ravagé comme celui d’une pute que des hommes ont utilisée est un repoussoir. Je suis perdue… À suivre 
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