1. La place rouge était vide


    Datte: 27/11/2018, Catégories: fh, ff, hplusag, extraoffre, cocus, vacances, danser, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, confession,

    ... soleil illumine la piscine, laissant cependant encore la terrasse dans l’ombre. L’eau brille. On devine des clapotis. Pourtant pas un poil de vent. Soudain je comprends, quelqu’un est dans l’eau. Quelqu’un nage. Le crawl. Un crawl coulé ne laissant voir que les bras qui transpercent la surface et une tête lisse qui apparaît régulièrement. Une tête avec un bonnet et de toutes petites lunettes. Il me faut un moment pour réaliser que c’est Franck dans cet accoutrement. C’est vrai qu’il a les cheveux longs, j’ai le souvenir d’une queue de cheval. C’est bien lui. Sa nage est parfaite. Il aligne les longueurs, plongeant vers le bord pour réapparaître dans l’autre sens, comme les nageurs en compétition. Lorsqu’il tourne le visage de mon côté, pour prendre sa respiration, j’ai peur qu’il ne puisse me voir. Peut-être pas ! Je suis dans l’ombre de la maison, alors que le soleil l’éblouit sûrement. En plus, c’est si je me lève que je risque de me faire remarquer et… merde, c’est vrai que je suis à poil. Donc silence et discrétion. De toute façon lorsqu’il va ressortir de la piscine c’est du côté de l’escalier, donc derrière la haie qui cloisonne la terrasse de chaque chambre. Mais ce n’est pas ce qui se produit. Soudain je vois, deux mains qui semblent prendre appui sur la margelle, puis deux bras qui encadrent la tête. Il respire fort. Il semble essoufflé. Et le temps que je réagisse le voici qui s’extrait de l’eau pour se retrouver en face de moi, à seulement quelques mètres. ...
    ... Heureusement le soleil qui illumine son corps luisant de gouttelettes doit l’éblouir. Ouf, il ne m’a pas vue. Il est occupé à faire quelques mouvements de respirations et de tendre ses bras comme pour étirer une crampe. Hier soir, c’était un homme de l’âge de mon père qui nous a reçus. Un homme tout en rondeur qui, avec sa femme, nous apportait une présence familiale. Mais à l’instant, c’est quelqu’un d’autre qui se découvre devant moi. Un homme. Juste un homme. Même le bonnet de bain ne lui retire pas cette virilité masculine. Mais aussi il est nu, totalement nu et c’est ainsi qu’il s’exhibe, sans le savoir, à mon regard soudain bien différent. Il est fort, puissant, musculeux, sans une once de graisse, de celle qui arrondit les hommes à partir d’un certain âge. Des poils. Oui, son torse, ses épaules, ses jambes sont recouverts d’un duvet pour l’instant collé à la peau, mais que j’imagine déjà comme une fourrure. Jean et mon amant initiateur sont imberbes. Mais c’est évidemment son sexe qui me tire les yeux. Un sexe qui se balance par ses mouvements. Une verge qui paraît longue et qui, je sais que c’est ridicule de comparer dans ces moments-là, me fait penser à une trompe d’éléphant, trompe animée de sa propre vie. Voilà il se calme. Il enlève son bonnet et sa queue de cheval retrouve le soleil. Dans la foulée il enlève les lunettes. Il cligne des yeux. Et… mettant une main pour se protéger du soleil, il semble regarder vers moi. Seigneur ! Il me voit. Mal peut-être, je ne dois être ...
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