1. La place rouge était vide


    Datte: 27/11/2018, Catégories: fh, ff, hplusag, extraoffre, cocus, vacances, danser, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, confession,

    ... qu’une silhouette, mais…Que faire ?Le saluer comme si de rien n’était ?M’enfuir ? Mais alors c’est reconnaître que je l’ai « maté ».Ne rien faire ? Voir comment il réagit ?Non, faire comme si je dormais. Après tout, c’est plausible. Il est tôt. Il a fait si chaud… Je ferme les yeux, m’efforçant de calmer ma respiration. Mais la curiosité et l’angoisse me font entrouvrir les paupières. Juste ce qu’il faut pour deviner une silhouette à travers mes cils. Il s’est immobilisé. Non, au secours, il fait deux pas. J’ai honte. Il doit me voir maintenant. Me découvrir jusque dans mon intimité.S’il me parle que dois-je faire ? S’il s’approche encore et me touche… Ouf, il ne bouge pas. Il me regarde. Alors, plus sereine, moi aussi je le regarde, discrètement. Image déformée par les stries des cils, mais suffisamment pour qu’un mouvement ne se dévoile. Sa verge se réveille. Doucement, lentement elle s’allonge, gonfle, se durcit encore et encore jusqu’à ce qu’elle se dresse contre le ventre. Il bande. L’homme bande par moi. Sans caresse, sans geste, juste par ma seule présence je déclenche son érection. Je suis troublée. Ainsi un homme peut me désirer uniquement en me regardant, nue, alanguie, endormie. Franck semble découvrir son sexe dur. Sa main en fait le tour, comme s’il cherchait à en vérifier l’existence. Il bouge. Vient-il encore plus près ? Non, il s’éloigne, il passe la haie. Je ne le vois plus. Enfin je peux reprendre mon souffle. C’est plus difficile qu’on croit de se forcer à ...
    ... ne pas bouger et simuler le sommeil. Je me lève doucement. La haie n’est pas parfaite et je le vois entrer dans sa chambre. Ouf. Le calme revient. — Mais tu es tout humide, tu vas tout mouiller. C’est cette remarque lancée assez fort qui attire mon attention. C’est la voix de sa femme, Anne, qui proteste. — Oh, mais dis donc, c’est quoi cela ? Le ton est plus enjoué. — Viens mon Chéri. Viens. Le silence revient. Alors je fais une chose terrible. Une chose qu’on ne doit pas faire, espionner. Surtout espionner ceux qui vous accueillent chez eux. Mais… la curiosité… aussi, cette verge si belle… si tendue… si longue… si fine… si… À pas de loup j’avance vers leur fenêtre. Les rideaux sont tirés. Je ne vois rien. Pas parfaitement cependant. Le passage de l’homme a laissé un jour. Quelques millimètres… Mais me placer devant, c’est prendre le risque que mon ombre signe une présence. — Mumm, dit la voix féminine. Tu es dur comme du bois.— Continue, suce-moi. Oui… comme ça… Bien… Tu es la meilleure que je connaisse. C’est autant le bavardage du couple que ce qu’il implique qui me rend curieuse. Avec Jean, nous baisons en silence. Juste des soupirs, des grognements. Aussi dire « la meilleure que je connaisse » est surprenant. Faire une comparaison dans un moment pareil ! Tant pis, je prends le risque. J’avance vers la fente. Ils sont trop occupés pour me voir. Mais alors que je suis à quelques centimètres, je m’aperçois que je vois un peu dans la chambre. En vision oblique, alors que je ...
«12...456...15»