1. La place rouge était vide


    Datte: 27/11/2018, Catégories: fh, ff, hplusag, extraoffre, cocus, vacances, danser, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, confession,

    ... ne devrais voir que le mur, un miroir me révèle la pièce. La pièce et le lit. Surtout le lit. On dirait qu’une bonne fée réalise mon désir. Une fée lubrique, coquine et certainement pas le dieu unique et rabat-joie de mon père qui, s’il autorise le mariage et le sexe, réduit ce dernier au minimum vital pour la reproduction de l’espèce. Sur le lit, le couple ne pense pas à la reproduction. Prendre la queue de son mari en bouche ne fait pas partie des classiques de la reproduction. Anne pompe son homme. À genoux devant lui, le dieu qu’elle honore c’est cette tige brillante qu’elle avale au plus profond pour la branler de ses lèvres resserrées. Elle se relève un instant : — Ben mon salaud, c’est le soleil de l’aube que te fais cet effet ?— Non, c’est la voisine. L’éclairage et ma vision décalée de la chambre ne me permettent pas de voir les détails, mais la posture de la femme montre une évidente surprise. — La voisine ? Tu veux dire la gamine, Nathalie ?— Oui ?— Mais… comment ?— Elle dormait sur la terrasse. Nue.— Et elle t’a fait cet effet ?— Oui. Je suis moi-même étonné de ma réaction. Si jeune ! Elle paraît si innocente ! Un visage d’ange ! Mais un corps de femme. Des seins magnifiques. Des hanches sublimes. Une chatte toute touffue…— Je croyais que tu n’aimais pas les poils.— C’est vrai, mais cette foufoune va si bien avec le personnage !— Pervers. Tu devrais avoir honte. Une gamine, jeune mariée de surcroît. Cochon. Coquin.— Excuse-moi. Tu es jalouse ?— Mais non, tu sais ...
    ... bien que non. Au contraire. C’est moi qui vais profiter de ta vision lubrique. Viens mon chéri. Prends-moi. Prends-moi, même si dans ton imagination c’est la voisine que tu vas baiser. Et je vois la femme se relever pour tourner le dos à son mari, dans cette position si perverse où la femme offre sa croupe comme une chienne pour le mâle. Franck n’a plus qu’à avancer. La croupe est à sa portée. Son bâton est toujours étrangement plaqué contre son ventre. Je dis étrangement, car Jean et mon amant de l’année dernière, s’ils ont des sexes bien durs, restent plutôt à l’horizontale, alors que celui de l’homme semble soudé à son ventre, dégageant par contre les deux bourses. Il prend sa queue en main. Elle semble accepter de se pencher vers la croupe et après une « reconnaissance » disparaît dans la femme. Le « Oh » d’Anne marque la pénétration, mais son mari ne lui laisse pas le temps de souffler. Déjà, les deux mains plaquées sur les hanches cadencent la possession. Pendant de longues secondes la pièce ne résonne que du bruit des corps qui se heurtent, du claquement d’un ventre plat contre de belles fesses rebondies, des respirations et soupirs des amants. Je transpire. Immobile et encore à l’ombre de la maison, mon corps est une chaudière. C’est la première fois. Oui, c’est la première fois que j’assiste à des ébats. Je réalise que jamais, je n’ai eu la curiosité de nous regarder dans un miroir pendant l’amour. Pourtant cela doit être excitant. — Elle est bonne ? Hein ! Elle est ...
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