1. La place rouge était vide


    Datte: 27/11/2018, Catégories: fh, ff, hplusag, extraoffre, cocus, vacances, danser, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, confession,

    ... danse, mais très vite il m’a laissée tomber. Franck s’est proposé et puis d’autres hommes sont venus m’inviter. Je passe de bras en bras. Je me sens libre. Un seul regret c’est de voir mon mari bavarder avec d’autres et me faisant « coucou » de la main que très rarement. Je le vois même quitter la salle avec un de ses nouveaux amis. Envie de prendre l’air. D’aller fumer une cigarette. Se reposer les tympans de cette musique qui assourdit. Moi, la musique me berce, m’enivre de rythmes et contribue avec la boisson à me mettre dans un état de plénitude. Mes cavaliers sont prévenants, mais certains n’hésitent pas à me coller tout contre eux. Je dois même en rappeler un ou deux à l’ordre. Comme je leur reproche de ne pas être sages « devant tout ce monde », ils me proposent de sortir avec eux. Je ris de ce toupet. Pourtant je ne peux ignorer la chaleur de leur corps et même pour les plus entreprenants une dureté entre les jambes. Ce n’est pas désagréable. C’est vrai que la robe que m’a prêtée Anne me moule beaucoup. Et Anne, ce matin ! Et son mari, ce matin ! Mais tout à une fin. Il est très tard et l’orchestre cesse. Nous prenons la route. En sortant de la voiture, Jean est « entre deux eaux ». Il titube, sourit bêtement lorsque Franck m’aide à le guider. — Le mieux serait peut-être de le mettre au lit, vous ne pensez pas ?— Oui, au lit, répond mon mari avec un air « idiot ». J’acquiesce en silence. Nous le guidons vers notre chambre. Il fait chaud. Alors que je dirige Jean vers ...
    ... le lit, Franck va ouvrir en grand la porte-fenêtre. Un peu de fraîcheur entre. Pourtant dehors il fait doux. C’est juste la transition. — Je vais vous aider, me dit mon hôte alors qu’il commence à détacher les chaussures de mon mari. Tous deux, nous déshabillons Jean. C’est la première fois que je le vois dans cet état. Si j’ai déjà participé pour le mettre nu c’est toujours dans notre intimité. Mais Franck n’hésite pas. Toutefois, s’il m’aide à enlever le pantalon, il me laisse lui enlever son slip. Jean est nu, allongé. Toujours souriant. Un sourire un peu « bête ». Je ne l’ai pas vraiment touché, peau contre peau et pourtant j’ai l’impression que son sexe n’est pas totalement au repos. — Allez, Franck, venez à côté de moi. Nathalie va vous déshabiller, ajoute mon idiot de mari. La remarque est tellement inattendue que je ris. — Dors, mon chéri, dis-je en tirant le drap sur sa nudité. Heureusement il ne continue pas sur ce registre et se tourne. Je vais remercier Franck, mais il ne me laisse pas le temps. — Venez boire un verre. Il ne faut jamais se coucher aussitôt après une soirée comme celle-ci. On dort mal. Il faut laisser tomber la pression. Il a raison. Je me sens encore fébrile et même l’intermède avec Jean n’a pas suffi à me calmer. Je suis si contente de ce « premier bal » de femme libre que je voudrais que cela cesse, ne cesse pas. Moi aussi j’ai bu et si c’est moins que mon mari, j’en ressens les effets. Mais des effets bienfaiteurs. Une insouciance qui fait du ...
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