La place rouge était vide
Datte: 27/11/2018,
Catégories:
fh,
ff,
hplusag,
extraoffre,
cocus,
vacances,
danser,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
... bien. Je le suis. Nous passons par la terrasse. Anne a tout préparé. — J’ai pensé qu’un alcool blanc, comme une vodka bien frappée, nous ferait du bien. La bouteille est recouverte de givre. Les verres aussi. Sans me poser la question, elle me sert. — À la Russe. Cul sec, dit son mari qui ajoute : À cette journée si particulière. À vos amours, chère Nathalie. À vos envies. Que vos désirs se réalisent. Il vide son verre. Anne aussi, non sans l’avoir dressé vers moi. Que faire d’autre, sinon boire. Juste un mot pour remercier. — Merci pour votre hospitalité et votre gentillesse. L’alcool est glacé, mais c’est un torrent de lave qui coule dans mon corps. L’effet est immédiat. J’ai chaud. Ils rient. Franck fait un pas vers moi. — Une dernière danse, « gente dame » ? Je n’avais pas remarqué la musique en fond sonore. Déjà il m’enlace. Anne va s’asseoir. Franck m’enveloppe dans ses bras puissants. Je me cale tout naturellement contre lui, la tête contre son épaule. — Vous en avez fait tourner des têtes, ce soir. À quoi fait-il allusion ? Mais il insiste. — Tous ces hommes qui vous ont tenue dans leurs bras. Vous étiez… vous êtes si belle. Cette robe vous va à ravir.— Merci.— Ne me remerciez pas. C’est plutôt votre mari qu’il faut remercier, de la liberté qu’il vous accorde. D’ailleurs je ne le comprends pas. Laisser sa jeune épouse pour bavarder et boire. Si moi j’avais été à sa place, je n’aurais pas quitté ma femme des yeux. Je ne me serais pas absenté en la laissant en si ...
... charmante compagnie. Mais il avait ses raisons, n’est-ce pas ?— Je lui suis fidèle.— Bien entendu. Mais nulle n’est à l’abri d’un moment de folie. Regardez-moi. Il recule légèrement, se saisit de mon menton. — Vous avez un visage d’ange. Mais moi, je sais que derrière cette expression si sage, certaines pensées se bousculent. Vous n’êtes pas si innocente que vous voulez le faire croire. Ces hommes, ce soir, vous les avez allumés, consciemment ou inconsciemment.— Mais non, jamais je…— Alors je fabule ? Et ce matin ? À l’aube ! Sur votre terrasse ! Osez me dire que vous dormiez ? Que vous ne m’avez pas vu ?— Mais… je…— Osez me dire que vous ne m’avez pas suivi du regard et aussi que vous n’avez pas espionné dans notre chambre. Quoi dire ? Quoi faire ? Mais, merde après tout, c’est eux qui parlaient de moi. — Oui, mais… vous parliez de moi.— Bien entendu. De vous. De celle que je tiens dans mes bras. Angélique. Avec cette robe aux épaules dénudées. Avec cette peau si douce. Il abandonne mon visage et sa main glisse le long de mon cou pour caresser mes épaules. Je frissonne. Je frissonne et pourtant il fait doux. — Avec cette poitrine que vous frottiez sur le torse de ces hommes. De ces hommes qui devaient sentir la fermeté de vos lobes, la force de vos tétons. Qui n’osaient pas faire en public ce que moi je fais ici. Sa main me caresse. Il passe sur le tissu, mais c’est comme une brûlure à même la peau. Comme je n’ai pas de soutien-gorge et que la robe d’été est d’une finesse ...