L'autre
Datte: 28/11/2018,
Catégories:
fh,
frousses,
extracon,
cocus,
cérébral,
revede,
Oral
init,
ecriv_f,
... s’interroge. Il a rarement vu sa Béatrice démaquillée. Manger en peignoir, c’est une première. Le spectacle était bien joli, d’ailleurs. Les pans se sont lentement ouverts sur un théâtre qu’il a toujours plaisir à contempler. C’est vrai que ce déménagement représente beaucoup de fatigue. Il décide de pauser sa semaine pour l’aider à tout installer. Elle voudra sans doute trop en faire, mais il sera là pour l’épauler. Il se penche pour regarder sous l’armoire. Rien. Il peut continuer. Béatrice est couchée sur le lit. Elle revoit Gwenn. Elle la voit à quatre pattes, bouche frôlant le gland de Jean-Claude. Puis le sexe gonflé qui oscille sous les coups de langue. Elle ne peut pas la laisser faire. Elle se penche à son tour, elle lèche la peau fine de la verge, la membrane lisse et tendue sur laquelle une goutte de liquide, transparente, glisse doucement. Elle sent aux mouvements oscillants que l’autre n’abandonne pas. Elle tend la main pour enserrer la base de la tige. La gourgandine ne doit pas gagner. Gwenn s’est mise à aller et venir sur la hampe. Sa façon de tirer la langue est obscène. Alors, pour l’arrêter, Béatrice inspire un grand coup et coiffe la tige de sa bouche. La sensation est assez étrange. Comme de gober une tomate au jardin. Elle a envie d’appuyer fort avec sa langue pour faire éclater cette boule chaude et salée. Elle le fait. Elle sent une résistance, un amollissement, et la résistance, à nouveau, plus forte. Elle relâche légèrement la pression. Le sexe a ...
... gonflé davantage encore. Elle remonte légèrement la main, pour mieux couvrir. Elle sent la peau fine glisser sous ses doigts, le sang battre. Elle se penche un peu plus, pour mieux le prendre en bouche. Elle a gagné. Plus un centimètre n’est accessible pour la garce. Elle tète lentement, faisant tourner sa langue autour de la pointe palpitante. La tige mouillée glisse et lui échappe. Elle reprend aussitôt. Elle ne voit plus Gwenn, mais la nargue. Elle ouvre la main pour mieux reprendre, fait aller et venir ses lèvres, sa langue, jusqu’à l’extrême limite, pour mieux ré-emboucher. Elle s’arrête un instant. Elle a oublié un détail, mince, mais cette hétaïre est capable de tout. Elle change de position, pose la tête sur le ventre de Jean-Claude. Elle prend le gland en bouche, et ses doigts reprennent leur office. Ainsi elle n’a plus besoin de se soutenir. Son autre main est libre d’aller lutiner les couilles qui s’agitent comme des balles sur un jet d’eau. Un moment, elle pense que maintenant Gwenn est libre d’embrasser son mari. Elle ne peut rien voir. Béatrice inspire un grand coup. C’est elle qui le tient. Elle qui va le faire jouir. La langue se fait pointue, court du frein tendu à se rompre au méat qui distille sa rosée. Les mains ne sont pas en reste. Jean-Claude a la respiration saccadée, il se cambre imperceptiblement puis, dans un mouvement incontrôlé, projette son sexe en avant. Béatrice reçoit le sperme qui déborde légèrement de sa bouche. Elle se recule, hésite, avale. ...