1. La part des Anges...


    Datte: 28/11/2018, Catégories: fh, vacances, magasin, Collègues / Travail collection, odeurs, init,

    ... train de durcir. Assez rapidement, nous nous retrouvons nus. Je peux contempler et admirer à loisir, sous toutes les coutures, son opulente poitrine. Nue, son poids fait retomber les seins sur le ventre, mais ils conservent tout leur volume. Sous la lumière du plafond, la fine peau blanche brille. Les aréoles sont proportionnelles à la grosseur. Larges, rose brun, elles tranchent avec la blancheur diaphane de la peau. Près des tétons, déjà hérissés, cylindriques et marqués d’une profonde étoile qui en rabat la peau brune et plissée vers l’intérieur, quelques picots de chair ornent les côtés, de façon symétrique, Son ventre, légèrement en avant est marqué d’un profond nombril et entre les cuisses, une toison pubienne, naturelle, folâtre et buissonnante. Mais elle ne peut cacher une intimité qui remonte haut sur le mont de Vénus, deux lèvres épaisses et rougeaudes qui baillent et luisent. Il me semble ne pas avoir assez de mes deux mains et de ma bouche pour rendre hommage à ce corps chaud et élastique, à la peau satinée et tellement érotisante qui termine de me griser et me fait tourner la tête. Charlotte se laisse caresser, explorer. Pour mieux apprécier, elle se tourne, colle ses fesses contre mon sexe qui est raide, le cale entre le haut de ses fesses et ses reins, étire ses bras autour de mon cou et se livre totalement à la concupiscence de mes mains. En toute liberté je peux effleurer ce corps qui m’est offert et j’en profite. J’ai même quelques difficultés à masser les ...
    ... seins et me concentre sur leurs bouts. En attrapant les tétons entre mes doigts, j’obtiens une oscillation du bassin qui me masse le sexe et renforce son excitation. Puis, je plonge mes bras en avant à la recherche de son clitoris et arrive à le faire surgir de son repli de chair. C’est une longue tigette dure et luisante que je caresse comme un pénis de garçonnet, ce qui a pour conséquence d’accélérer le balancer du bassin de Charlotte. Elle entame contre mes cuisses une sorte de danse du ventre qui accélère au rythme de la montée de sa jouissance et lorsqu’elle jouit sous mes doigts, elle se casse presque en deux, m’emprisonnant la main et l’avant-bras. Elle reste prostrée durant quelques minutes, m’offrant une large vue sur ses fesses, entre lesquelles j’avance ma main libre. Du bout des doigts, j’entre dans son humidité brûlante et trempée et, à mon contact, elle se dérobe, se retourne et me supplie de lui laisser reprendre son souffle. En même temps, elle approche sa tête de mon ventre et en l’inclinant légèrement, pose ses lèvres sur le bout de mon sexe, ouvre sa bouche et m’aspire. Et là, ami lecteur, je dois bien vous avouer que c’est la première fois qu’une œnologue, spécialiste de la dégustation des vins, s’occupe ainsi de moi. Elle entame une dégustation… spéciale ! Elle se comporte avec mon sexe comme je venais de la voir pratiquer avec les vins que nous avons dégusté quelques heures auparavant. Elle m’aspire avec grands bruits, m’enrobe le bout du sexe avec une ...
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