La part des Anges...
Datte: 28/11/2018,
Catégories:
fh,
vacances,
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Collègues / Travail
collection,
odeurs,
init,
... langue habile et experte à faire tourner des liquides dans la bouche. Elle m’avale presque jusqu’au bout pour mieux me reprendre ensuite entre ses lèvres, puis contre son palais et contre sa langue. Cette langue qui s’enroule, m’entoure, m’échauffe, m’excite, me fait durcir de plus en plus et sous laquelle je sens monter de plus en plus rapidement mon excitation. Du bout des doigts, Charlotte taquine mes bourses, en les triturant, en leur utilisant ce petit coup de poignet qui les mettent presque en rotation, tout en les frictionnant l’une contre l’autre… À ce régime-là, je ne résiste pas très longtemps… et je laisse aller mon plaisir, sans pouvoir le contrôler pour prolonger cet exercice. Avec application, Charlotte reste la bouche collée à mon pénis jusqu’à la dernière goutte. Puis, doucement, en s’aidant d’une main, elle me retire et finit son exercice de dégustation. Sous mon regard étonné, je vois sa bouche se contracter, ses lèvres former une légère ouverture. Je la contemple en train d’aspirer de l’air et entamer dans sa bouche cette sorte de tourbillon habituel des dégustateurs, avec mon sperme. Le manège dure pendant quelques minutes… Quelques minutes durant lesquelles le bruit de succion de l’air, du mélange qui tourne dans la bouche emplit les lieux avant qu’elle n’avale par petites gorgées, en se délectant de mon propre nectar. Les lèvres brillantes, l’œil étincelant, elle remonte vers moi et me susurre : — Millésime aimable (1) bien qu’encore un peu bourru (2) ...
... mais loyal (3). Une attaque ronde en bouche (4). C’est séveux (5) mais harmonieux (6). Il est aussi canaille (7), élégant (8) et distingué (9). C’est là un millésime que je trouve friand (10) et généreux (11). Puis, les yeux levés toujours rivés dans les miens, avec beaucoup de sérieux, elle ajoute : — Je lui trouve des arômes et des saveurs typiques de noix verte, d’amande, de pain d’épices. Je pense qu’à ces notes épicées on trouve une légère âpreté… Et elle me sourit largement… — Tu te fiches de moi ? demandé-je, interloqué, car c’était bien la première fois qu’on analysait gustativement mon sperme !— Pas du tout ! Mon analyse est des plus exactes… Tu sais, le sperme n’a jamais le même goût, chaque individu doit avoir un goût différent, avec des caractères communs. Et en fonction des âges et des moments de la journée, le goût évolue…— Mais tu me parais bien renseigné !— Je pense que cela doit aussi faire partie des connaissances olfactives et gustatives… rit-elle. Durant cette « analyse sensorielle » de mon sperme, je restais stupidement les bras ballants, planté là, nu devant ce petit bout de bonne femme qui s’appliquait à mâchouiller sa bouchée de sperme, comme avec un grand cru. Non que je ne sois fier de ma semence, mais avouez tout de même qu’il y a là de quoi vous défriser… et c’est bien entendu ce qui est arrivé ! Et tout le travail d’excitation était à recommencer. Mais cette fois, c’est moi qui me suis ingénié à lui redonner du plaisir, avec ma bouche et mes doigts. ...