La part des Anges...
Datte: 28/11/2018,
Catégories:
fh,
vacances,
magasin,
Collègues / Travail
collection,
odeurs,
init,
... Charlotte, pour plus de commodité s’installe à califourchon sur une grosse barrique, pas très haute. Ainsi, jambes naturellement écartées, j’accède sans encombre à son intimité qu’elle me présente sans honte, y plonge le nez et la langue et, tel un jeune chien fou, me repaître de ses odeurs, de son goût, lèche, suçote, aspire, mordille, lape, boit son plaisir, son désir et lui arrache soupirs, gémissements et cris de jouissance. J’en profite pour aller lui titiller son petit trou, serré et odorant ce qui semble augmenter le plaisir de la jeune femme et dans un dernier élan de jouissance, elle se renverse sur le dos, referme fortement ses cuisses autour de ma tête et il faut mobiliser toute mon énergie et ma force pour l’empêcher de choir du sommet de la barrique. Hors d’haleine, le souffle court, les cuisses trempées, le ventre creusé par le plaisir, les seins alourdis de jouissance, Charlotte se laisse ainsi pénétrer, étalée sur le bois de chêne, en position précaire. J’entre dans un univers chaud et doux, humide et serré d’excitation. Sa position surélevée me facilite le travail et le ballottement des seins stimule ma vue et mon imaginaire… Mais c’est elle qui nous incite à changer de position. Charlotte descend et appuie son ventre sur la barrique, rejette son buste sur le haut et décolle des pieds. Encore en position instable, lorsque je me présente à l’entrée de son intimité, j’ai la sensation d’avoir à faire à un culbuto… ce qui facilite une fois encore et grandement ...
... mes allers-retours et nous conduit à l’extase finale que nous atteignons en même temps, elle agrippée au bouchon de liège de la bonde, moi à ses seins dont je maltraite les bouts durs et dressés. Nos soupirs, notre remue-ménage, ont déclenché une vaste agitation sous forme d’une fine poussière qui danse autour de nous, entre dans le nez, la bouche, noircit les mains, les plantes des pieds et nos corps nus et suants d’efforts. C’est vrai, que, cet après-midi, je n’avais pas réellement fait attention à cette pellicule de poussière qui recouvre toute la cave, des murs aux plafonds. Mais maintenant que par nos ébats nous l’avons mise en suspension, j’en prends conscience. Et tandis que je cherche à la chasser de devant ma figure, à grands coups de main, comme pour chasser une mouche d’été enquiquinante et collante, Charlotte en reprenant son souffle, s’excuse de cet état de fait. — En nous agitant, nous venons de déranger « la part des anges »…me dit-elle.— ???— Oui, lorsque le vin jaune vieillit et se concentre, près de 40% s’évapore et les esters et alcools qui s’évaporent s’agglomèrent à la poussière ambiante de la cave et forment cette pellicule gris-noir qui se dépose partout. En vieillissant, un champignon se développe, c’est ce qu’on désigne sous le nom de « la part des anges ».— Que c’est mignon et poétique… pour désigner de la poussière…Je vais me coucher moins bête tout à l’heure…— Justement, puisqu’on parle d’heure… Il est tard et, demain, moi je travaille… Toutes les ...