1. la nuit infernale (1)


    Datte: 30/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... L’œuf s’enfonce doucement dans ma chatte humide, et je connais ce contact qui m’excite tant, quand je me masturbe. Julie empoigne mes cheveux brutalement, et plaque mon visage sur sa chatte, en criant : — Vas-y, salope ! Lèche moi ! — Plus vite que ça, renchérit Faustine, un coup de cravache à l’appui. Je n’ai pas à me forcer. Le minou de Julie est très appétissant, avec ses lèvres percées, sa fente entrouverte et déjà pleine de cyprine, et surtout, son clito. J’en ai rarement vu d’aussi développé. Ma bouche se pose sur son mont de Vénus, et descend doucement jusqu’à la grotte offerte, pour y glisser ma langue. Julie feule de plaisir, et soudain, l’œuf commence à vibrer au plus profond de mon ventre. Je pousse un gémissement de plaisir, mais un violent coup de cravache me rappelle à l’ordre. Je prends le petit bouton de Julie entre mes lèvres. Je l’aspire, je le suce. Je lèche la hampe déployée, avant de la mordiller tout doucement, et Julie est parcourue par un spasme, accompagné d’un long cri. Ce jeu continue longtemps. Julie s’accroche convulsivement à mes cheveux. Mon cul est en feu sous la cravache. Le rythme imprimé par Faustine à mon œuf vibrant accélère ou ralentit. Julie finit par jouir, et gicler, inondant ma bouche et mon visage d’une mouille épaisse. De manière spectaculaire. J’ai rarement assisté à un tel orgasme chez une femme. A tel point que je jouis aussi, immédiatement. J’espère une pause, mais je me rends vite compte que je me trompe. Faustine prend ...
    ... aussitôt la place de Julie, qui récupère la cravache. Je dois lui prodiguer les mêmes caresses buccales, mais Faustine est encore plus gourmande. Elle tire rageusement mes cheveux. Elle exige que je sois fouettée, que je glisse ma langue entre ses fesses. La sueur ruisselle sur mon corps, rendant les coups de cravache plus douloureux. L’œuf vibre à pleine vitesse dans mon minou. Faustine jouit enfin, en hurlant. Mais elle ne se contente pas de cet orgasme. Elle continue à plaquer mon visage entre ses cuisses, et je devine qu’elle va prendre son pied une deuxième fois. Je jouis aussi, avant que tout son corps se cabre et se tétanise sous l’avalanche de son plaisir. L’œuf arrête de vibrer, et je me relève un court instant, pour essayer de reprendre mon souffle. Comme je m’y attendais, c’est au tour de Clotilde de me présenter son abricot. Mais pendant qu’elle s’installe, je vois aussi, sur le côté, Julie, en train d’ajuster le harnais d’un gode ceinture autour de sa taille. La taille du phallus en silicone est impressionnante. Le spectacle que nous offrons excite manifestement notre public. Les deux femmes ont momentanément interrompu la fellation à laquelle elles se livraient sur deux spectateurs, pour regarder ce qui se prépare. — Elle a eu l’air d’aimer ce que nous lui faisions, cette petite salope, dit Julie. On va voir si elle aime se faire enculer en même temps. Je proteste, « non, pas comme ça ! », mais c’est peine perdue. Faustine s’installe à califourchon sur mon dos, et ...
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