la nuit infernale (1)
Datte: 30/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... chevilles pour m’écarteler, et tout le monde m’entoure, les yeux rivés sur mon corps souillé et exposé. — Tu vas avoir ce que tu mérites, petite salope !, rugit Julie. — Et nous sommes encore trop bonnes avec toi, car tu n’attends que ça, renchérit Clotilde. — Allez-y ! Couvrez la de foutre, cette pute !, crie maintenant Faustine. Je suis tellement épuisée et honteuse que je ne peux même pas esquisser un geste de défense. Des larmes coulent sur mes joues, sans attendrir qui que ce soit. Au contraire, Marc a repris la roue à pics, et lui fait parcourir mes seins soulevés par ma respiration hachée et mes sanglots, mon ventre, mes petites lèvres… Je crie de douleur, quand il atteint mon clito. Il continue malgré tout quelques secondes, avant de remonter sur mes tétons. Autour de moi, tous les spectateurs, des deux sexes, sont nus. Tous me regardent, torturée par Marc. La scène dure longtemps. Et puis soudain, l’un des types commence à se branler frénétiquement, en grommelant : — Je viens… Tu vas y avoir droit, salope !…. Prend mon foutre. Je regarde, hypnotisée, le gland qui tremble entre ses mains crispées, et sa semence jaillit, en longs jets, éclaboussant mon visage, mon buste. C’est le signal de la curée. Les autres spectateurs l’imitent, et le suivent de peu. Mes seins, mon ventre, mes cuisses sont couverts de foutre. L’un des types a réussi à me fourrer sa verge dans la bouche, et j’ai du avaler un torrent de sperme épais, crémeux, jusqu’à hoqueter, au bord du ...
... vomissement. Les deux femmes du public n’ont rien perdu de ce spectacle, et se doigtent avec autant d’énergie que les hommes se sont branlés. La première vient sur moi, s’agenouille, la chatte à la hauteur de mon visage. Je vois, en gros plan, son clito dardé, sa fente écartée par ses quatre doigts qui s’activent, dans un clapotis assourdissant. Des gouttes de cyprine coulent sur mon visage. Je sais qu’elle va jouir. Et quand l’orgasme arrive, elle hurle et elle plaque son sexe sur ma bouche, m’offrant sa mouille qui gicle. Sa copine la bouscule ensuite pour prendre sa place, et la même scène recommence. Jusqu’à jouir, elle aussi. Mais c’est une femme fontaine, et sa sève déborde de ma bouche, coulant sur mes joues et mon menton. Enfin, le calme revient. Je ne parviens pas à y croire, mais l’épreuve se termine pour moi. Un lourd silence s’installe, et mes nerfs craquent. Je suis secouée par les sanglots, et toutes et tous continuent de me regarder, sans exprimer la moindre reconnaissance ou la moindre compassion. Je finis par me calmer, et Faustine m’aide à m’asseoir et à me relever. Elle m’enlève mon collier et mes bracelets, et je récupère les chaussures que j’avais perdues dans ces ébats. Je lui demande si je peux me nettoyer et, sur un ton toujours aussi sévère, elle me signifie que je dois rentrer comme ça chez moi. Elle installe de nouveau les pinces sur mes seins, et me précise que je n’ai pas le droit de remettre ma robe. Elle me conduit vers le long couloir qui me ramènera au ...