la nuit infernale (1)
Datte: 30/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... vestibule, mais avant, je surprends mon reflet dans le miroir. Des larmes coulent à nouveau sur mes joues, quand je m’aperçois nue, les seins pincés, le corps maculé de sperme et de cyprine, marqué par les coups de cravache ! Dans le vestibule, je retrouve le chauffeur qui m’attend, et qui ne manifeste aucune surprise en me voyant dans cet état. Il se contente de me tendre mon manteau d’été, court et léger, seul vêtement auquel j’ai droit. Et encore... Faustine ajuste elle même le manteau, qui ne tient fermé que par la seule ceinture nouée. Le col doit rester généreusement entrebâillé, pour permettre d’apercevoir mes seins nus et pincés. De ce fait, les pans s’ouvrent à chaque pas, découvrant ma chatte toute lisse. Et il est si court que mes cuisses couvertes de sperme séché, griffées et marquées par les coups de cravache, sont entièrement exhibées. Il fait grand jour. L’air frais me fait du bien. Je monte dans la voiture, sur la banquette arrière, et cette fois, le chauffeur ne me bande pas les yeux. Faustine claque la portière, sans m’adresser un mot, et nous prenons la route, pour retrouver mon appartement. Le chauffeur n’est guère plus bavard, et au bout d’une bonne demi-heure de route, il se gare devant mon immeuble. A ce moment, je regarde l’heure affichée sur le tableau de bord de la Mercédès, et mon sang se glace : il est près de 8 heures… L’heure à laquelle presque tous mes voisins partent au travail !!! Le chauffeur m’ouvre la portière, et m’accompagne jusqu’à la ...
... porte de l’immeuble. Et là… A travers la vitre, j’aperçois deux voisines, échangeant quelques mots dans le hall. Je panique tellement, que je dois m’y reprendre à deux fois pour taper mon code, et une des deux femmes m’aperçoit. Quand la porte s’ouvre enfin, je me précipite vers l’escalier, sans les saluer, mais elles ont le temps de remarquer mon état et ma tenue. Je commence à monter les premières marches, et le cauchemar continue : J’entends des voix et des pas… On descend, et je ne peux pas faire demi-tour, sans me retrouver nez à nez avec mes voisines. Je respire un grand coup, et je continue d’escalader les marches deux par deux. Mais ce faisant, je dévoile entièrement mon abricot ! Et me voilà face à un jeune couple – mes voisins du dessous – qui me barre le passage. Je dois attendre qu’ils s’écartent, pour monter, et ils me dévisagent tous les deux avec des yeux exorbités. Je ne peux pas faire autrement que de leur dire bonjour, et elle me demande, quand je passe à sa hauteur : — Tout va bien, mademoiselle G… ? Avez-vous besoin d’aide ? Je lui réponds que "non, tout va bien", d’une voix étranglée, et je m’élance pour gravir les dernières marches, en fouillant fébrilement dans mes poches pour trouver mes clés. Enfin, me voilà chez moi. Je claque la porte derrière moi, je me rue dans ma chambre, et je me laisse tomber sur mon lit, sans prendre le temps d’enlever mon manteau et mes chaussures, ni même les pinces accrochées à ma poitrine. Je peux m’abandonner à ma honte et ...