1. Vacances imprévues


    Datte: 01/12/2018, Catégories: fh, ffh, vacances, campagne, pénétratio,

    ... — Je ne me moquais pas de vous, j’étais étonnée, surprise, mais dans le bon sens ! Je vous admirais. Il ne répond rien, malgré le bruit du moteur il a du entendre, mais rumine sa colère. Il l’a déposée devant le camping, sans un adieu, est reparti immédiatement. Ses copains l’ont accueilli avec joie, surtout William. Ils allaient repartir le lendemain et s’inquiétaient d’elle. Elle leur répond, sourit, mais sa tête est ailleurs. Le crachin n’a pas cessé depuis deux jours. Les touristes promènent en ville croisant des paysans venus faire leurs courses compte tenu du temps. À la ferme, Pascal est dans son atelier. Sa toupie tourne avec un bruit assourdissant. Il a mis un casque pour protéger ses tympans. Quand il a fini sa passe, il arrête le moteur pour aller se désaltérer. Quittant son serre-tête, il lui semble entendre aboyer les chiens au dehors. Il ouvre la porte et reçoit un ballot tout mouillé dans les bras, les chiens retournent à la niche. Il regarde cet imperméable, le capuchon se relève et Bébé est là en pleurs. À peine a-t-il eu le temps de la débarrasser de son vêtement mouillé qu’il la reçoit contre lui. — Pascal écoute-moi. Je veux m’excuser pour l’autre jour, je ne voulais pas te fâcher. La nuit dernière je n’ai pas pu dormir, d’abord j’étais plus mal que dans ton lit, et puis je pensais au mal que je t’avais fait. C’est vrai que nous ne vous connaissons pas, en ville nous ignorons nos racines. Je voulais te dire que je ne te méprise pas comme tu l’as cru.— Et ...
    ... tu es venue à pied, sous la pluie, pour me dire ça ? Tu es vraiment folle, j’ai le téléphone, le fax, Internet. Un mot aurait suffit. Et maintenant, tu crois que je vais te ramener ?— Non, je repartirai comme je suis venue, d’ailleurs il ne pleut presque plus.— Et on dit que c’est nous qui sommes des imbéciles ! Quelle est la vraie raison de ton retour, t’es tu interrogée ? eh bien je vais te le dire, te le montrer. Il l’a saisit d’une main, la charge sur son épaule comme un sac de grain, va dans la maison, la chambre, la jette sur le lit. Avant qu’elle n’ai pu prononcer une parole il la déshabille entièrement. Elle reste passive, effrayée par sa détermination, mais impatiente de connaître la suite. À son tour il se dépiaute. C’est un véritable ours tant il est poilu. Mais surtout ce qui l’impressionne c’est ce membre, pas encore dressé et pourtant énorme. Il la saisit dans ses deux bras, la monte à hauteur de sa bouche et la caresse de partout comme s’il dévorait un morceau de viande. Sa barbe, pourtant rasée du matin la pique, lui donne des frissons. Il mordille ses seins, son ventre, revient au visage. Puis calmé semble-t-il il la pose doucement sur le lit. Elle peut alors contempler un gourdin long, énorme, presque comme son propre bras. Elle attend avec terreur mais aussi délice le moment du sacrifice. Mais il n’est pas pressé. Chaque main prend un sein, l’englobant entièrement, les pouces agaçant les extrémités. La bouche butine le visage, murmure des mots sans suite — ...