Vacances imprévues
Datte: 01/12/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
vacances,
campagne,
pénétratio,
... Que tu es belle – trop belle – je vais te faire jouir, te transpercer-. Il écarte les jambes et son visage vient au confluent des cuisses. Il entreprend de préparer le champ de bataille. Il s’agit d’abord de labourer ce terrain de la langue, de l’arroser de la salive, la source mouillera l’intérieur. Pour plus de facilité il s’est placé tête bêche. Elle a sous le nez ce morceau qui à la fois l’admire et l’effraie. Des deux mains elle le saisit, elle en fait à peine le tour. Elle approche sa tête, ouvre grand ses mâchoires, il rentre tout juste dans sa bouche et seul le gland y trouve sa place. Je ne pourrai jamais absorber ça, pense-t-elle, et pourtant il faudra bien y passer ! Comprenant son acceptation, Pascal a abandonné son travail de sape, s’est couché à côté d’elle, l’a saisie par la taille et l’a placée au-dessus de lui. Puis il attend. Elle a compris. S’appuyant sur un coude, de l’autre main elle saisit le morceau et s’en frotte doucement la fente, comme pour lui faire connaître le terrain. Elle place la pointe au centre de la cible, et doucement se laisse descendre. Elle craint d’avoir mal comme lors de ses dépucelages avant et arrière. Il reste immobile, attentif. Le gland est entré. Elle commence un petit mouvement n’utilisant que l’extrémité de l’outil. Tout se passe bien. Et insensiblement, sans qu’elle s’en rende compte, elle l’enfonce complètement. Son bassin est écartelé, mais ce n’est pas douloureux ni même gênant. Jamais elle n’aurait pensé être si large ni ...
... si profonde. La pointe de ses seins est caressée par les poils de la poitrine. Elle frotte son torse contre le sien, cela l’excite. La voyant bien chevillée, il retourne leur couple, prenant le dessus, les commandes. Et il commence à la baiser. Le plaisir est si grand pour elle qu’on entend un clapotis et bientôt elle connaît un plaisir immense. Le ballet s’arrête un instant, puis reprend. Une deuxième fois il déclenche un orgasme chez Bébé. Nouvel arrêt. Maintenant il se déchaîne, ne prenant plus aucune précaution. C’est le mâle dans toute sa brutalité, qui veut son plaisir oubliant sa partenaire. Et elle apprécie désire cette vigueur, l’encourage de la voix « vas-y, plus vite, plus fort, baise-moi, troue-moi ». À ce rythme, ils ne peuvent tenir longtemps et crie simultanément leur bonheur. Pascal se lève, va faire couler un bain tiède. Puis il vient prendre Bébé dans ses bras, la porte jusqu’à la salle de bain, s’allonge au fond, la prenant sur lui. Elle est bien, en sûreté dans ces bras puissants. Les grandes mains savonnent, frictionnent, caressent ce corps si fragile. Ce traitement ranime leurs ardeurs et Bérengère voit apparaître entre ses cuisses un membre qu’on dirait sien. Souriant, elle le savonne longuement, en joue comme d’une partie de son propre corps. Longuement elle le secoue, le branle, l’admire jusqu’à ce que plusieurs jets puissants viennent arroser son visage. Riant à gorge déployée elle se tourne et vient frotter sa figure contre celle de son compagnon. ...