Le "G", le ripou et les belles nanas (2ème partie)
Datte: 06/12/2018,
Catégories:
fh,
voiture,
Oral
fsodo,
... davantage, alors que mon poursuivant me colle au cul, me tamponne. L’enfoiré ! Bon, si je tourne, c’est la rue de l’église à droite, à gauche, une avenue… Et plus loin, le chantier en construction. Une folle idée germe dans ma tête. — Ahh ! gémis-je lorsque la bouche de Warda se referme sur mon gland. Oui… Accroche-toi baby, j’ai un plan ! Elle ne répond rien et me suce le gland sauvagement. — Oui !! Oh… la vache ! Un nouveau coup de feu résonne et mon rétroviseur explose littéralement. Mon poursuivant accélère brusquement et me donne un grand coup dans l’arrière de ma caisse. Je parviens à garder le contrôle. Warda relève la tête : — Avec les chocs, j’ai peur de te mordre… Je la regarde avec de grands yeux : — Après je te dépose à l’asile, ma grande. Un large sourire se dessine sur son visage et elle replonge à l’attaque de ma verge, glissant de larges coups de langue gourmands sur ma hampe, avant de se pencher davantage et de se mettre à me lécher les couilles, ce que j’adore par-dessus tout. Je meurs d’envie de me l’enfiler, là, tout de suite. Je fonce, j’accélère, le chantier n’est qu’à quelques rues d’ici, je peux y arriver. J’accélère une dernière fois et ce que j’ai prévu se produit : déconcentré par sa colère, mon poursuivant ne fait pas gaffe : il fonce. Je donne un brusque coup de volant à droite, et dans un crissement de pneus, la voiture fait un virage serré et tourne violemment. Emporté par la rage et la vitesse, la voiture de flic fonce tout droit, traverse le ...
... cordon de sécurité du chantier et s’envole soudain, pour aller s’écraser deux ou trois mètres plus bas dans la zone de travaux. Je ne relâche pas la pédale d’accélérateur et poursuis ma route en riant sous cape. Il vient de se planter dans le chantier ! Je ne sais pas ce que je donnerais pour voir sa tête ! — Tiens, espèce de con, ça t’apprendra ! Je ne m’attarde pas sur les lieux pour demander mon reste. Je file, pied au plancher, ma bite dans la bouche de Warda. Elle relève la tête un instant et m’interroge : — On l’a semé ?— Ouais, je crois. Je tourne à gauche, passe devant le centre commercial et file droit dans la rue déserte à cette heure. Warda se redresse et se rassied convenablement. Elle se passe la langue sur les lèvres en se recoiffant, tandis que je reste là, comme un con, la bite à l’air. — Pff ! ça va mieux, me dit-elle, comme si de rien n’était. Je lui jette un regard en souriant. — Attends, on va passer au deuxième round ma puce. Je stoppe la caisse dans un endroit à l’abri des regards, près du parc. Je déboucle prestement la ceinture et sors de la voiture, le cœur battant la chamade dans ma poitrine, la tête pleine de mouches, le corps encore secoué par l’adrénaline. Warda sort de son côté, et elle n’a même pas encore mis un pied dehors que je fonds sur elle et la prends dans mes bras. — Hé ! crie-t-elle, surprise. Mais j’en peux plus, moi. Ma queue est tellement dure qu’on jurerait une tige en fer. Je soulève ma belle beurette de terre, comme si elle n’était ...