Le "G", le ripou et les belles nanas (2ème partie)
Datte: 06/12/2018,
Catégories:
fh,
voiture,
Oral
fsodo,
... qu’un poids plume, et la porte jusqu’au capot de la bagnole. Un sourire coquin se dessine sur son visage. Je déboucle nerveusement sa ceinture, et fais glisser le long de ses belles jambes son jean et sa culotte, envoyant ses tennis sur le bitume. — J’ai le cœur qui cogne, dit-elle.— Et moi j’ai trop envie de toi, trop. Je me penche vers elle et l’embrasse goulûment. Ses lèvres sont chaudes et douces. Je passe une main dans ses cheveux, puis la fais descendre pour la poser sur sa poitrine ronde. J’adore ce contact dans le creux de ma main. Elle gémit lorsque je soulève son pull, et elle l’enlève, restant en soutien-gorge, allongée sur le capot d’une voiture. Une vision enchanteresse. Prestement, je lui arrache presque son soutien-gorge et le jette au loin. Je me redresse et la contemple un moment, la queue raide, mon froc à mes pieds. Elle écarte les jambes et me sourit : — Viens… Je me passe la langue sur les lèvres, essayant de me calmer au mieux, pensant que je suis dingue, que les flics peuvent débarquer à tout moment… Mais je m’en fiche. C’est trop excitant, tout ça. Je plonge vers elle et pointe ma langue sur sa poitrine haute et ronde. Je titille les mamelons, les tète et les suce l’un après l’autre, tout en lui caressant les seins sans répit. — Hmm… Elle m’attire à elle par la nuque. Mais je la plaque sauvagement contre le capot, me redresse et viens frotter mon gland contre l’ourlet délicat de son anus. Non, bon, ok je suis hyper excité, mais je vais pas lui faire ...
... ça à sec quand même. Et j’ai trop envie de lui lécher son joli cul. Je m’agenouille et place ma tête entre ses cuisses écartées et ma langue s’engouffre dans le passage humide et chaud de son sexe. — Ahh… Ma langue lui effleure le clitoris, se glisse entre ses lèvres puis descend sur sa rosette que j’humidifie. Et chose incroyable, ma queue en durcit encore. C’est délicieux. De petits coups de langue délicats, de petits baisers tendres, de grands coups de langue gourmands, j’essaie tout. Et elle aime ça. Elle gémit, les yeux clos. C’est trop bon. — Oh oui… J’adore cette sensation… Oh oui… Elle frémit, elle tremble. J’enfonce mon doigt dans son anus humidifié et remonte lui sucer le clitoris. — Oh ! Je me relève et elle plante ses yeux dans les miens. — Encule-moi !— Quand c’est demandé gentiment, répliqué-je en souriant. Je pose mon gland sur sa rosette et pousse doucement. Elle frémit et se crispe soudain lorsque je la pénètre doucement, centimètre par centimètre, attentif à ses gémissements et à son visage crispé. Je pose ses pieds sur mes épaules, m’enfonçant en elle. C’est brûlant et serré à tel point que mon cœur est sur le point d’exploser. J’emprisonne ses seins dans mes mains et entame alors un lent mouvement de va-et-vient. Warda crie doucement, ne me lâchant pas du regard. — Hmm… Oui… À chaque coup de reins que je lui donne, elle ferme les yeux, de fines gouttes de sueur coulent le long de son visage. La douce brise du matin me rafraîchit, me donne une sensation de ...